Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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Aussi observe-1-on ces phénomènes dans les larmes bata- 
viques, lorsqu’on peut réussir à polir leur panse sans les 
rompre , de même qu’on les voit aussi dans les autres plaques 
de verre refroidies rapidement. Au contraire, on les fait 
complètement disparaître, même dans les masses qui les pro 
duisaient le plus fortement, en les chauffant de nouveau jus 
qu’au rouge, puis les faisant refroidir, avec une extrême 
lenteur, et avec toutes les précautions nécessaires pour que la 
déperdition de la chaleur soit aussi uniforme qu’il se peut 
dans toutes leurs parties. C’est ce qu’a trouvé M. Seebeck, 
et ce que j’ai vérifié après lui. 
En général, on conçoit que toute cause qui déterminera uu 
état forcé des particules sera également propre à donner ces phé 
nomènes. Aussi M. Seebeck les a-t-il obtenus avec des plaques 
de borax fondu et refroidi rapidement, avec des plaques demu- 
riate de soude rapidement desséchées, avec des plaques dégommé 
arabique obtenues par une prompte évaporation. C’est, je crois, 
à cela qu’il faut attribuer les indices de polarisation observées 
accidentellement par M. Brewster dans certains échantillons de 
cristaux qui , par leur nature, ne possèdent point la double 
réfraction. Enfin, ce qui achève de confirmer celle manière de 
voir, M. Brewster a encore imprimé les mêmes propriétés à 
des plaques de gelée animale, en exerçant sur elles extérieure 
ment une pression passagère; de sorte que les couleurs parais 
sent tant que la pression dure, varient avec elle, et s’évanouissent 
quand elle cesse. Des variations rapides et inégales de tempéra 
tures ont une influence pareille sur les plaques de verre. Ces 
plaques, présentées au rayon polarisé lorsqu’elles sont encore 
complètement et uniformément rouges, n’agissent point sur 
lui ; mais on voit les couleurs paraître à mesure qu’elles com 
mencent à se refroidir, comme M. Seebeck l’a observé le pre 
mier ; et elles naissent d’abord dans les endroits qui sont les 
premiers refroidis. L’introduction de la chaleur agit de même. 
On le reconnaît en plaçant une plaque métallique très-chaude 
parallèlement au rayon lumineux polarisé , et posant sur cette 
plaque, parla tranche, une plaque de verre bien recuit. Car 
eslte plaque, qui froide ne produisait aucune couleur sur le verre
	        
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