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ET DU CALORIQUE, 6o5
la lumière est nulle, ou presque nulle sur les corps bruts,
quand elle ne tombe pas très-obliquement sur leur surface ,
de même il y a certaines surfaces qui réfléchissent plus ou
moins bien le calorique obscur. Il se réfléchit très-bien , par
exemple , sur la surface des métaux polis , mais beaucoup
moins bien sur celle du verre, quelque poli qu’on lui ait donné.
C’est pour cela que M. Bérard a employé un miroir métallique
dans l’expérience de réflexion que j’ai rapportée plus haut. Je
ne fais qu’indiquer ici ces modifications que nous examinerons
plus loin en détail.
La meilleure manière pour rendre sensibles les effets de la
réflexion du calorique, c’est de placer l’un au-devant de
l’autre, sur le même axe, à une certaine distance, deux mi
roirs métalliques concaves qui se regardent. Au foyer prin
cipal du premier A, on place un corps chaud et obscur ; par
exemple, un matras M rempli d’eau bouillante. Les rayons
Calorifiques qui en émanent et qui tombent sur le miroir A, sont
réfléchis comme des rayons lumineux parallèlement à l’axe ;
et se propageant ainsi jusqu’au miroir B, ils sont concentrés
de nouveau par lui à son foyer principal. Si donc on place en
ce point un thermomètre sensible, il monte par leur influence ,
et d’autant plus que le corps placé au foyer de A produit une
plus grande quantité de chaleur. Afin que l’expérience soit con
cluante , il faut éloigner assez les deux miroirs l’un de l’autre
pour que le matras M ne puisse exercer directement aucune
influence sensible sur le thermomètre placé au foyer du mi
roir B. C’est ce dont on peut s’assurer , en répétant d’abord
l’expérience à la même distance sans les miroirs, ou en cou
vrant une partie ou la totalité de la surface de l’un d’eux. Car
si les miroirs sont bien construits et disposés exactement,
l’élévation clu thermomètre sera sensiblement proportionnelle
à la portion de leur surface qui reste à découvert. Lorsque
l’appareil est complètement disposé, on peut, si l’on veut,
intercepter subitement la transmission du calorique par l’in
terposition d’un écran opaque, et l’on peut de nouveau la
permettre en retirant l’écran. On s’est assuré , de cette manière,
qu’elle est excessivement rapide ; car, quelque djstance que 1 ou