Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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cisément au-dessous du point où il se joint à l’autre tube, 
parce que la petite cavité qui se forme en cet endroit-là favorise 
l’opération par laquelle on doit ajuster l’instrument. Cette opé 
ration consiste à échauffer un peu avec la main l’air de la boule 
vide, pour en faire passer quelques bulles dans l’autre boule ; 
après quoi, retirant la main, le ressort de cet air condensé 
force la goutte liquide à descendre. Les boules sont soufflées 
aussi égales qu’on peut les faire en les jugeant à l’œil, et on 
leur donne entre quatre et sept dixièmes de pouces en dia 
mètre. Le tube qui contient la bulle , et sur lequel on fixe une 
échelle divisée, doit avoir un diamètre intérieur bien égal, et 
d’un quinzième ou d’un seizième de pouce. Il n’est pas nécessaire 
que le calibre de l’autre tube soit aussi régulier -, mais il doit 
être sensiblement plus large, afin que l’expansion ou la con 
traction de l’air qu’il contient, étant plus sensible, fasse mou 
voir la bulle colorée, au moindre changement de température. 
Chacune des branches de l’instrument a de trois à six pouces 
de haut, et les boides sont éloignées l’une de l’autre de deux 
à quatre pouces. La partie inférieure du siphon est collée vers 
le milieu à une tige déliée, qui se fixe sur une base solide 
d’une hauteur convenable. Un instant d’attention suffit pour 
faire voir que cet instrument ne peut être affecté que par 
la différence de chaleur des deux boules correspondantes, et 
qu’il est construit de manière à mesurer cette différence avec 
la plus grande précision. Tant que les deux boules sont de 
même température, à quelque degré que cette température 
s’élève, l’air contenu dans l’une ne peut manquer d’avoir la 
même élasticité que l’air contenu dans l’autre ; et par consé 
quent la liqueur colorée qui les sépare, pressée par deux forces 
égales et opposées, doit nécessairement rester stationnaire. 
Mais si, par exemple, la boule dans laquelle on a fait d’abord 
passer une partie de la liqueur colorée vient à être échauffée 
plus que l’autre, l’élasticité supérieure de l’air qui y est 
contenu chassera devant lui cette liqueur, et la forcera de 
s’élever dans la branche opposée, jusqu’à une élévation pro 
portionnée à l’excès d’élasticité ou de chaleur. On peut même
	        
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