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ET DU CALORIQUE. g ()f> 
lométrique de ck^ 
march « ^ fiastij; 
e i mais onataims 
roment étant m 
réservoir dans une très-petite fiole remplie d’esprit-de-vin teint 
en rouge, attachant en même temps la fiole au coude du tube, 
on transporte ¡’instrument dans une chambre plus froide, et 
on le laisse tranquille. 
L’air qui se trouve dans les deux boules de l’instrument 
!e thermomètre I(, 
gnndes proport« 
lelquefoisplnsaïffl, 
est composé d’un loti 
les deux extrémités, t: 
e boule très-mince i 
ig. 56. Le milieu de ti 
nt; mais ses deux titré 
>nt tournées en liait è 
roitsavec la partie hoti 
suces de longueur d’œ 
nt extrémités, qui S 
î a ' pouces de Ion« 
d'environ une demi 
étant refroidi, et pei’dant une partie de son élasticité en con 
séquence de ce refroidissement , l’air de l’atmosphère force 
l’esprit-de-vin qui se trouve dans la bouteille d’entrer dans le 
réservoir ; mais comme l’ouverture du réservoir est très-étroite , 
cette opération avance très-lentement ; et il faut éviter de s’ap 
procher de l’instrument pendant qu’elle dure, de peur de la 
troubler ou de l’arrêter, en échauffant l’air dans les boules 
par la proximité du corps. C’est pourquoi le parti le plus sûr 
est de s’éloigner tout-à-fait pendant que l’esprit-de-vin passe 
de la bouteille dans le réservoir pour le remplir. Il faut pour 
tant revenir de temps en temps près de l’instrument pour 
observer les progrès de l’opération, afin d’être prêt à sceller, 
par le moyen d’une bougie et d’un chalumeau, l’extrémité 
capilaire du réservoir , dès qu’il y est entré une quantité suffi 
sante du liquide. 
ce de long, et d» 
an tube à un de s« 
us. un peu de côte 
de l'instrument u» 
Jeutin teint en rouge 
is essentielles, et e! 
Quand on s’approche de l’instrument avec la bougie pour 
cette opération , il est nécessaire d’employer beaucoup de pré 
caution pour ne pas échauffer l’air dans la boule voisine, ce 
qui dérangerait tout, et forcerait de recommencer. 
Le réservoir étant rempli, et son extrémité scellée herméti 
quement, il faut introduire le liquide dans le tube horizontal, 
afin qu’il intercepte la communication de l’air entre les deux 
boules. Cela se fait de la manière suivante. 
nière suivante. S«i 
laire, on place F® 
ton le laisse pendi 
e, où la tempéra® 
•ochant de fia» 
remitc capillaire h 
On échauffe un peu la boule qui est la plus éloignée du réser 
voir, en présentant la main ouverte pendant quelques momens 
à la distance de deux ou trois pouces ; puis on renverse sou 
dainement l’appareil , en tenant le réservoir en haut. Par 
ce moyen, l’on fait passer une petite quantité d’esprit-de-vin 
du réservoir dans la partie horizontale du tube ; et rétablissant 
aussitôt l’instrument dans sa position naturelle , on s’éloigne 
^roford lai-méroe, 
qaijpartten* 
de lui, et l’on attend que la bulle liquide , ainsi formée , soit 
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