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ET DU CALORIQUE.
graduellement des conditions et des propriétés que possède le
calorique lumineux, on conçoitque, lorsque l’émanation com
mence à devenir visible, elle doit être d’abord analogue à la
partie la moins calorifique du spectre, qui se trouve à l’extré
mité violette. Aussi observe-t-on que toutes les flammes , lors
qu’elles commencent à naître , sont d’abord violettes ou bleues,
et n’atteignent la blancheur que lorsqu’elles ont acquis un
plus liaut degré d’intensité (1). Toutefois ces rapprochemens,
par cela même qu’ils nous indiquent un état progressif, n’ex
cluent point.les propriétés particulières qui peuvent appartenir
exclusivement à telle ou telle phase de la progression. Ainsi
les émanations calorifiques de températures diverses, et les
émanations lumineuses de diverses couleurs , pourront différer
entre elles dans la faculté de produire la vision, la chaleur,
l’action chimique , dans la transmissibilité à travers les sub
stances diaphanes , et peut-être dans beaucoup d’autres carac
tères que les physiciens n’ont pas encore étudiés. Si cette ma
nière de voir ne doit pas être mise au rang des vérités démon
trées , du moins on voit qu’on peut s’en servir comme d’un
guide assez fidèle pour découvrir les rapports des faits; aussi
l’emploierons-nous à cet usage. Mais, afin de ne pas donner à
nos recherches d’autre base que l’expérience, nous n’y intro
duirons point celte identité présumable, et nous désignerons
par une dénomination particulière les émanations calorifiques
obscures qui se font sentir à dislance. Ce sera le calorique
rayonnant, dont nous allons étudier les principales lois.
(i) Cette progression de teintes a même lieu pour la lumière que l’étin
celle électrique exerce dans l’air. Je m’en suis assuré eu tirant ces étin
celles à diverses distances, entre une pointe mousse et une sphère métal
liques; disposition qui permettait d’obtenir un jet continu, dont on modé
rait à volonté l’intensité par l’éloignement.