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COMMUNICATION DU CALORIQUE
Expériences avec le creuset de fer rempli de mercure. L 1 in
fluence calorifique est transmise au thermomètre par le
système des miroirs conjugués.
Première Série.
1 Slco ”“ s ""‘-
»Indication
des expé-
• riences.
Excès de la
tempérât» du
mercure sut
celle du ther-
raomètr . focal
au moment où
celui-ci est de
venu station
naire ,
T.
Excès de la
tempérât, du
therm, focal
sur celle de
Fair, au mo
ment du maxi
mum ,
t.
Indication
dt:s expé-
, riences.
ExcÈs de la
tempérât, du
mercure sur
celle du tber-
momèlr. focal 1 ,
au moment où
celui-ci est de
venu station
naire,
T.
!
Excès de la
tempérât, du
therm, focal
snr celle de
l’air, au mo
ment du maxi
mum ,
t.
a
Sr°
4,°7
a
4i,°4
i,°69
b
89
4,5
b
42, 3
1, 69
C
ï3l
9, *
C
42, 4
i, 46
d
172
i3, 1
d
80, 2
3, 56
e
175
14, 6
e
80, S
3, 56
f
20 5
17, 4
f
82, 4
3, 56
i34,0
7, 06
h
j 33, 3
7> 5 7
& r.
i
i58, 5
10, 7 3
k
162,1
9, 66
1
i
175, 4
12, 32
i
m
i8 7) 5
'
13, 52
Ces deux séries sont construites graphiquement, dans les
fîg. 58 et 5g, en prenant les T pour abscisses et les t pour
ordonnées. Au milieu des irrégularités qu’elles présentent et
que la délicatesse des observations rend presque inévitables,
on remarque, dans les t v une tendance générale à croître plus
rapidement que par une simple ligne droite. Cette tendance
peut être exprimée d’une manière très-approchée par la loi
suivante : t — a T -|- b T 3 ,
les coeffieiens a et b étant deux constantes qui doivent être
déterminées, pour chaque série, d’après les observations mêmes,
et qui dépendent des circonstances particulières où la série est
faite, telles que la distance, le mode d’action, la nature de la
source, etc.