COMMUNICATION JDU CALORIQUE
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conserver ce même rapport, et modifier seulement leur valeur
absolue, de manière à satisfaire à une des observations, par
exemple à la dernière. En opérant ainsi, j’ai trouvé
log a = 2,5908316 log b — 7,9741864 —TF? • a >
' 41060
et en calculant les t pour les diverses valeurs de T observées,
il en est résulté le tableau suivant :
Valeurs de T,
obsei’vées.
Valeurs de t,
Excès du calcul.
calculées.
observées.
4a,°o
i,°7i
i,°55
o,°i6
8r, 1
3, 66
3, 56
-h O, IO
i3/,, 6
7, 5a
7, 3a
~b 0, 20
160, 3
11, i3
IO, 20
-h O, g3
175, 4
11, 92
12, 32
— », 49
187, 5
i3, 5a
i3, 52
-t- O, OO
On voit que la formule suit encore les observations avec une
singulière exactitude ; car les petits écarts qui s’y remarquent
sont d’un ordre tel, qu’on ne peut espérer de les éviter dans
un genre d’expérience aussi difficile.
Voici enfin xine autre série qui a été faite sans miroirs ,
et par la seule influence directe du creuset échauffé , sur le
thermomètre placé à une distance fixe. J’ai déterminé de même
les valeurs absolues des coefficiens «été, en satisfaisant à une
des observations, et j’ai trouvé
log a = 2,3964086 log b = 7,7797634 b = ■ * • . a;
41000
et en calculant les t, pour les diverses valeurs de T que De Laroche
avait observées, j’en ai déduit des résultats que j’ai comparés
aux siens , comme le montre le tableau suivant :