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Enfin, à l’aide des mêmes procédés, De Laroche a mesuré
comparativement les quantités de calorique rayonnant qui se
transmettent à travers des lames de verre d’épaisseurs diverses
lorsqu’elles sont exposées, dans des circonstances semblables,
à l’influence d’un même corps chaud ; et il a trouvé que l’aug
mentation d’épaisseur affaiblissait la transmission dans une
proportion considérable , an point de balancer et de rendre
nuis les avantages d’une transparence plus parfaite. Une lame
de verre commun épaisse de i mm ,7 transmettait beaucoup plus
de calorique qu’un plateau de très-beau verre de g rain d’é
paisseur.
Tels sont les résultats dus à la sagacité et à l’infatigable
patience de De Laroche. Us sont du plus haut intérêt, non-
seulement par ce qu’ils prouvent, mais par ce qu’ils font pré
voir. Les physiciens qui les poursuivront y trouveront un
sujet abondant de recherches importantes; mais, quelque per
fection qu’ils y apportent, il restera toujours à De Laroche
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Car, en comparant les distances auxquelles les mêmes caractères d’impres
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bougie, il a trouvé qu’on ne pouvait certainement pas lui attribuer
de l’effet total.
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