Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

SUR LE RAYONNEMENT. 
ailse ! tt 
lS sont produits. 
1 d’“ espace^ 
*> Jwnt été an ;i 
i ïnoiMmif 
' réchauffer. C(«à 
' ne pas ressentie 
dont les par: 
al. Dans ce cas, 1 
i permanence de 
;tre laissé à dent; 
[ne point de l’esp 
unis, Ainsi, sels 
isse a chaque à 
le calorique ray» 
forme des paroi: 
en toute rigueur 
int de ce principe 
rane pas seule«: 
petite profond« 
avec une énerj: 
ooints rayonnai^; 
msidérons unpoir 
é que nous venus 
it, comme centre 
•e infiniment prit 
5y, se contins 
, Ce cône coati« 
ue le point Mr: 
inement. soit)« 
a produit par ,f - 
f conique indéL 
point M i COŒ« 
i nui coupe ces- 
tranchera, aj Î! 
, devra ètrecoc? 
«te total S f ‘‘' 
651 
Car, dans les dimensions de ce dernier , il n’y a que S P qui soit 
un infiniment petit géométrique; et, quelque limitée que soit la 
profondeur d’où il émane un rayonnement sensible, par cela seul 
qu’elle a une existence physique, elle doit être traitée comme 
finie relativement à SP; ensorte qu’il suffit d’évaluer le rayon 
nement de tous les points compris dans le cône tronqué S P TT'. 
Mais, pour eu former l’expression mathématique, il ne faut 
pas considérer ce rayonnement comme reçu par un seul point 
M, puisqu’à la rigueur un point géométrique, n’ayant aucune 
étendue, ne peut rien intercepter. 11 faut lui substituer un élé 
ment superficiel d’une étendue infiniment petite dv, lequel pourra 
être incliné d’un angle quelconque <p, sur les lignes M S ou M S r * 
Cela posé dans le cône tronqué S P T T', considérons un point v, 
situé à une profondeur a quelconque, mais fort petite. Ce point, 
rayonnant dans tous les sens, deviendra le centre commun d’une 
infinité de filets calorifiques, dont une certaine proportion sera 
arrêtée par la matière même qui l’environne; mais enfin le 
reste sortira dans l’air, et dès-lors continuera librement sa 
route sans éprouver d’autre modification que l’élargissement 
produit par l’augmentation de la distance, du moins si nous 
négligeons ce que l’air pourra encore matériellement en inter 
cepter. Pour exprimer nettement l’effet qui en résultera, nom 
mons N le nombre de ces rayons émergens qui pourraient être 
interceptés, à l’unité de distance du point y, par une étendue 
sphérique, décrite de ce point comme centre , et égale à l’unité 
de surface. Cette même étendue, placée à la distance R, n’en 
N 
intercepterait plus qu un nombre^-. Si donc, en conservant 
ces dénominations, nous voulons appeler r la distance de 
l’élément SS' au point M, laquelle peut se considérer comme 
commune à tout l’élément infiniment petit ds, R deviendra 
r-f «, et l’élément ds, projeté perpendiculairement sur la 
ligne »M, donnera une étendue sphérique égale à dssin<p, la 
quelle se réduirait à ds, si l’élément était perpendiculaire à la 
N sin <2> . , , i 
ligne vM. Par conséquent exprimera le nombre cte 
( r + « ) 2 
rayons calorifiques que l’élément ds intercepte, à cette distance,
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.