SUR LE RAYONNEMENT.
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mouiller également tous les corps placés dans l’air, à une même
hauteur; et c’est ce qui n’arrive point. Dufay constata ce fait
remarquable, observé avant lui par MuschembroeA, mais qu’il
mit dans une évidence beaucoup plus complète. Il prouva que
la rosée pouvait être très-abondante sur certains corps, par
exemple sur des lames de verre , et être nulle ou presque nulle
sur des lames de métal poli, placées exactement auprès. Ceci
est tout-à-fait la même chose que l’expérience de M. Benedict
Prévost, et l’explication en est la même. Car, pour que la vapeur
humide, qui forme la rosée, puisse se déposer sur les corps qu’elle
rencontre, il faut que ces corps soient un peu plus froids que
l’air dans lequel elle nage; et, en effet, ils sont plus froids ,
comme on peut le constater en les touchant avec un thermo
mètre à réservoir plat, ainsi que l’a fait un très habile obser
vateur, M. Ch. Weels. Or, quand on a ainsi suspendu à la même
hauteur une lame de verre et une barre de métal, primitivement
sèches et également chaudes , quelle que soit ensuite la cause qui
les force à se refroidir, il est clair que le refroidissement du
métal sera bien plus lent que celui du verre.. S’il est assez lent
pour que l’air ambiant puisse restituer au métal autant de ca
lorique que cette cause inconnue lui en fait perdre , il est évi
dent qu’il ne se précipitera point d’eau sur sa surface , excepté
peut-être dans le cas très-rare où l’air en serait complètement
saturé ; de sorte que la vapeur céderait au plus léger abaisse
ment de température. Mais si, au lieu d’une lame de métal qui
rayonne peu, vous en concevez une de verre ou de tout autre
corps qui rayonne beaucoup, et que vous l’isoliez parfaite
ment de toute communication directe de calorique , la même
cause de déperdition, qui était insensible pour le métal, re
froidira cette lame beaucoup plus vite, et trop vite pour que
l’air puisse lui restituer la chaleur qu elle pex T d. Ainsi sa tem
pérature devra s’abaisser au-dessous de celle de l’air , et la diffé
rence pourra devenir assez considérable pour déterminer une
précipitation d’eau.
Maintenant, quelle est cette cause inconnue qui, dans une