DANS LKS CORPS SOLIDES.
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eur qui était îî,
de la barre ai
mtart, constata
Celle manière dt
i erreur d’u
nt ainsi déltt
abscisse qu'
au* positions ¿0
liais dans le tablai
6 7 3
On voit que les sept premiers thermomètres ont été seuls
affectés sensiblement. Le huitième, placé à iï,556 décimètres
de distance de l’origine, est resté immobile. D’après cela , on
pourrait se demander quelle température il aurait fallu donner
à la source de chaleur pour qu’un thermomètre éloigné d’elle
d’une certaine quantité, de deux mètres, par exemple, se fût
élevé seulement de 1 Dans ce cas, y serait donné et égal à 1,
ce qui rendrait son logarithme nul ; x serait aussi donné et
égal à 20 ; Y seul serait inconnue; et en le déterminant par la
condition proposée , on aurait
20 1 y b
log Y = — \/ -, d ou 1 on tire Y = 25208 ;
M w a
c’est-à-dire qu’il faudrait donner à la source une température
supérieure à vingt-cinq mille degrés de Réaumur ; c’est beau
coup plus qu’il ne faut pour fondre le fer.
Voici une autre expérience faite avec une barre de fer diffé
rente tle la précédente, et sur laquelle on avait placé huit ther
momètres aux distances fixées ci-après.
Numéros des Thermomètres.
Leurs distances au bout échauffé
de la barre x.
I
2,28077
a
3,23077
3
4,12019
4
5,08172
5
6,02883
7,89903
e
7
9,78363
Ici on a pris pour unité de longueur la distance des ther
momètres 1 et 2 , qui était de 104 millimètres. Maintenant la
température de l’air étant à i4 û 5 R., le bout de la barre a été
tenu pendant plusieurs heures plongé dans du plomb fondant,
que l’on entretenait à ce terme en y tenant toujours une petite
barre de plomb solide , dont la fusion continuelle empêchait la
température de s’élever. Le métal était contenu dans un vase
Tome IV. 4^