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CALORIQUE LATENT. 699
D’abord, pour diminuer l’influence du vase, il faut le
choisir fort mince et de peu de masse, comparativement à la
quantité d’eau qu’il doit renfermer. Soit (m) sa masse , (c) la
chaleur spécifique de la substance qui le compose. Il est clair
que , dans toutes les variations de température , il agira comme
ferait une masse d’eau d’une température égale à la sienne, et
. (m) (c)
dont le poids serait . II n’y a donc qu’à augmenter de
cette quantité la masse m de l’eau, dans nos précédentes for
mules , et l’effet du vase sera corrigé.
Si l’on ne connaissait pas la chaleur spécifique de la matière
du vase , on pourrait la déterminer par une expérience préli
minaire ; en voici un exemple qui se trouve dans l’ouvrage
de Crawford sur la chaleur ; je le réduis seulement à degrés
centésimaux.
L’air de la chambre étant à 2o°,i4 , quarante onces d’eau
à la température de 2o°,oB33 furent mises subitement dans un
vase de fer-blanc, qui étaitlui-mèmeà la température de 42°,9i6.
On l’amenait à ce terme en l’entourant d’une enveloppe de
même métal, de dimension exactement pareille, et plongeant
le tout dans un bain d’eau chaude dont on mesurait la tempé
rature. Le vase étant donc retiré, et l’eau introduite , on agita
doucement celle-ci, et au bout de trois minutes, sa tempéra
ture devint sensiblement constante, et égale à 2o°,555. On
peut donc appliquer ici notre formule générale des mélanges ,
page 697 , en considérant le vase comme le corps immergé.
Seulement il faudra y changer m' en (/«) et c' en (c), pour
l’accommoder à nos nouvelles dénominations On aura alors
i=2o,o833 ; t'= 42,916; T = 20,555 ,
me. 0,4717 me
~ 47>4'
d’où l’on tire
(m) (c)
ü3,36i
Maintenant il ne reste plus qu’à mettre , dans cette formule ,
pour (m) et r/z, leurs valeurs numériques,et l’on en déduira (c),
c’est-à-dire, la chaleur spécifique de la matière du vase. Même,
à vrai dire, il suffit d’effectuer cette substitution pour m,
parce que la masse de l’eau peut varier dans les expériences