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résulte point de fumée. Pour les bois, on les réduira en copeaua
très-minces, de cinq ou six lignes de largeur, que l’on enflam
mera sous la bouche du serpentin, en les tenant à la main ou
avec une pince : ils brûleront ainsi avec la plus grande facilité.
Quant à la combustion des liqueurs spiritueuses, telles que l’al
cool et l’éther, il faut, pour qu’elle soit parfaite, employer
des,précautions particulières dont nous parlerons plus loin.
Ge-n’est pas tout : pour pouvoir évaluer toute la chaleur
dégagée, il faut connaître la température à laquelle les pro*-
duits sortent quand ils ont parcouru tous les replis.du serpen
tin. Pour le savoir, Rumford a fait communiquer la sortie de
celui-ci avec la bouche d’un autre appareil semblable ; et il a
trouvé qu’en se bornant à opérer dans le premier calorimètre
des changemens de température peu considérables, comme la
méthode que nous allons décrire l’exige, l’eau contenue dans
le second calorimètre n’était pas échauffée sensiblement. Il a
conclu de là, que, dans ces limites , l’usage du second calori
mètre était inutile, et il s’est dispensé de l’employer.
Ce procédé est évidemment la. méthode des mélanges per
fectionnée. Il exige donc aussi que l’on tienne compte des quantité»
de calorique absorbées par le serpentin et par les parois du ca
lorimètre. Cela peut se faire , soit par des expériences directes ,
en cherchant combien une masse d’eau donnée se refroidit ou
se l’échauffe lorsqu’on l’introduit dans l’appareil, soit par le
calcul, en partant du poids et de la chaleur spécifique des
feuilles de cuivre employées à la construction de l’appareil.
Rumford, après avoir fait cette correction à son calorimètre ,
trouva que sa masse , et celle de l’eau qu’il contenait, équiva
laient en somme à 2781 grammes d’eau ; et il a employé con
stamment ce nombre dans tous ses résultats.
Mais nous avons vu qu’il faut encore écarter ou corriger
une autre cause d’erreur , qui est celle que produit le réchauf
fement ou le refroidissement progressif de l’appareil , par
rayonnement et par contact, dans l’atmosphère environnante.
C’est à quoi Rumford a remédié d’une manière aussi sûre
qu’ingénieuse. Il amène d’abord la température de son appa-