Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

TOT. 
Iti à peu près pareils p 
> ft dont il est faut 
>’3 s'applique aussi® 
> ! rre des quantités ded 
emploie pour talonè 
me température cou 
linces de cuivre rouge, 
rît, et 4 pouces |dek 
e un serpentin de me 
horizontales, et qui: 
par lesquels l’eau doit; 
'un tuyau plat, dort 
pouce, la largeurih 
. Sa bouche est un tus 
de 1 pouce de hauteur,? 
ve verticalement dans,:- 
une hauteur de \ dtp 
n;re du serpentin sert'! 
ipposée a «elle par If! 
re a réservoir cylinfe 
, indique à chaque et- 
iu dent il est remplit 
atre baguettes mii« ; 
huile des «il»® 0 
, pu ai q«‘ efltt * 
?ar ieur contait, s*' 
et, y déposant l® 1 - 
environnante, 
*. Poit qœ 
,ns ainsi Cf**»* 
«rbstaace br# ,ei ; 
« tlafflffle ’ ^ 
desbongi« oi 
lespeserap« 5 ’ 6 
' anièV“ 
CALORIQUE LATENT*. j 0( y 
résulte point de fumée. Pour les bois, on les réduira en copeaua 
très-minces, de cinq ou six lignes de largeur, que l’on enflam 
mera sous la bouche du serpentin, en les tenant à la main ou 
avec une pince : ils brûleront ainsi avec la plus grande facilité. 
Quant à la combustion des liqueurs spiritueuses, telles que l’al 
cool et l’éther, il faut, pour qu’elle soit parfaite, employer 
des,précautions particulières dont nous parlerons plus loin. 
Ge-n’est pas tout : pour pouvoir évaluer toute la chaleur 
dégagée, il faut connaître la température à laquelle les pro*- 
duits sortent quand ils ont parcouru tous les replis.du serpen 
tin. Pour le savoir, Rumford a fait communiquer la sortie de 
celui-ci avec la bouche d’un autre appareil semblable ; et il a 
trouvé qu’en se bornant à opérer dans le premier calorimètre 
des changemens de température peu considérables, comme la 
méthode que nous allons décrire l’exige, l’eau contenue dans 
le second calorimètre n’était pas échauffée sensiblement. Il a 
conclu de là, que, dans ces limites , l’usage du second calori 
mètre était inutile, et il s’est dispensé de l’employer. 
Ce procédé est évidemment la. méthode des mélanges per 
fectionnée. Il exige donc aussi que l’on tienne compte des quantité» 
de calorique absorbées par le serpentin et par les parois du ca 
lorimètre. Cela peut se faire , soit par des expériences directes , 
en cherchant combien une masse d’eau donnée se refroidit ou 
se l’échauffe lorsqu’on l’introduit dans l’appareil, soit par le 
calcul, en partant du poids et de la chaleur spécifique des 
feuilles de cuivre employées à la construction de l’appareil. 
Rumford, après avoir fait cette correction à son calorimètre , 
trouva que sa masse , et celle de l’eau qu’il contenait, équiva 
laient en somme à 2781 grammes d’eau ; et il a employé con 
stamment ce nombre dans tous ses résultats. 
Mais nous avons vu qu’il faut encore écarter ou corriger 
une autre cause d’erreur , qui est celle que produit le réchauf 
fement ou le refroidissement progressif de l’appareil , par 
rayonnement et par contact, dans l’atmosphère environnante. 
C’est à quoi Rumford a remédié d’une manière aussi sûre 
qu’ingénieuse. Il amène d’abord la température de son appa-
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.