Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

:m P le i au-dessous d e 
* e nous tep«, 
urï '« produits q,H 
ea s« refroidissant^ 
qu’il pif;-; 
Tant que® 
k I air fïtérieur, f* 
■'trique qu’elle te la 
ar eu. Mais le «. 
mperature ; alors 6 
;oit en temps égal,* 
ns. Donc, si l'on si" 
'il se passe autant o 
utre, il y aura m 
ité de calorique Me 
a même que s'il n’eùt 
aleur. C’est ainsi jit 
periences est dù,ü 
meuse précaution, 
de la vapeur aqw, 
dVau dans un mate 
souche dn serpeniE. 
serpentin par îst 
percé dans sa piû 
ifani, qui s'éW 
entin. De cetteiu- 
ot des trous, tombait 
Je vapeur dam« 
an petit fourni! 1 - 
masqué pardi« 
fut déduit de rds 
tion, qui durait» 
jnt de commencer, 
raspour eu chasse 
déni expériencs 
CALORIQUE LATENT. ?ll 
de ce genre. J’en ai réduit les élémens en températures centé 
simales , au lieu de celles de Fareinlieit employées par l'auteur. 
■ ï 
' 
Nomrre de de- 
eu 
Tempér. de 
Tempér. de 
E LÉ VA TT ON 
Poids de la 
grés centésim. 
dont un poids 
s 
Tempér. de 
1 eau au 
l’eau à la 
de tempe- 
vapeur cor.- 
1 de vapeur en 
2 
la chambre. 
lin de l’ex- 
rature de 
densée en 
se condensant- 
ment de l’ex- 
périence. 
l’eau. 
eau dans le 
élever, latem- 
»5 
périence. 
serpentin. 
pér. d’un poids 
égal d’eau. 
îâ 
i 
16,i ii i 
12,7778 
19,7222 
6,q445 
29,61 
568,484 
i. 
i6,8o55 
14,0277 
19,7222 
5,8334 
24,40 
565,906 
Pour calculer ces expériences, et en déduire les nombres 
contenus dans la dernière colonne , il faut considérer que 
l’introduction de la vapeur dans le calorimètre réchauffe de 
deux manières distinctes : i°. par le dégagement de calorique 
qui se fait à l’instant de la conversion de la vapeur en eau ; 
2°. par le calorique que cette eau abandonne , en se refroidis 
sant, jusqu’à la température actuelle du calorimètre. Pour 
évaluer le premier effet, il faut savoir à quelle température la. 
vapeur s’est liquéfiée. On pourrait calculer celte température , 
si l’on connaissait la pression que la vapeur supportait 
alors j malheureusement Rumford ne l’a point indiquée ; mais 
comme il opérait à Paris, et sous la pression naturelle de 
l’atmosphère, on peut supposer cette pression de o ra ,76, 
la température de ioo° centésimaux. L’eau résultante entrait 
donc à ioo° centésimaux dans le serpentin , qu’elle trouvait à la 
température t au commencement de l’expérience, et à la fin à 
la température t'. De sorte qu’en supposant le réchauffement 
du calorimètre uniforme, comme il a dû l’être, étant si peu 
considérable, on aura la moyenne de tous les résultats, eu 
considérant l’eau formée comme se refroidissant jusqu’à la 
lempéi’ature t. Cela posé, soit rri le poids total de vapeur 
condensée, et c la quantité de calorique qu’un poids 1 de cette 
même vapeur dégagerait en se condensant en eau à l oo° de 
température : ni c' sera la quantité analogue dégagée par la 
masse m . Maintenant , soit c la quantité de calorique qu un
	        
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