Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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de chaleur. Pour mesurer son influence, on a échauffé les en 
veloppes par la vapeur, sans faire circuler le gaz, et l'on a 
observé la marche de réchauffement du calorimètre. On a arreté 
l’expérience lorsque la température n’a plus augmenté d’une 
manière sensible. Alors on a élevé artificiellement cette tempé» 
rature d’environ un degré, lui faisant ainsi dépasser le terme 
où elle avait dû devenir stationnaire , ce qui mettait ainsi ¡’ap 
pareil dans le cas de se refroidir au lieu de se réchauffer, comme 
il le faisait auparavant. On a observé la marche de ce refroidis 
sement, jusqu’au terme où il devenait aussi lent que le réchauf 
fement l’était dans la série précédente ; puis on a pris la moyenne 
entre ces deux termes pour la mesure de l’effet direct que ie 
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tuyau rempli de vapeur pouvait produire sur le calorimètre. 
Cette expérience a été faite deux fois avec beaucoup de soin. 
Dans la première, la série ascendante a conduit jusqu’à 11°, 
l’air ambiant étant à 8°,2io , ce qui donne un excès de 2°,7q ; 
et la série descendante a conduit jusqu’à 11°,6g , l’air extérieur 
étant à B°,i3, ce qui donne pour excès 3°,56. En prenant la 
moyenne entre ces deux excès , on trouve 3°,i pour le maxi 
mum auquel le tuyau rempli de vapeur pouvait , par son in 
fluence immédiate, porter la température du calorimètre au- 
dessus de celle de l’air extérieur, dans les circonstances assi 
gnées. Une autre expérience, faite et calculée de la même 
manière , a donné un résultat absolument pareil. Je dois dire , 
en passant, que cette méthode des séries ascendantes et des 
cendantes est aussi celle dont on faisait usage pour déterminer 
le maximum de température auquel chaque courant de gaz 
pouvait élever le calorimètre; et le seul énoncé de ce procédé 
suffit pour faire concevoir combien il est exact et ingénieux. 
Toutefois , lorsqu’un courant de gaz circule dans le calori 
mètre, l’influence du tuyau de conduite sur lui n’est plus 
exactement la même, parce qu’alors le calorimètre s’échauffe, 
et que l’effet de la communication doit diminuer avec la dif 
férence de température entre le calorimètre et le tuyau ; de 
sorte que, si cette différence était nulle , l’effet de la com 
munication serait nulle aussi. D’après cela , les auteurs ont
	        
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