Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

! PWiculier am i 
P nur transport« ; 
4wnt propottioBti 
fa calorimètre et® 
C ALOJFtlQUE LATENT. y 2l 
ne pouvait pas être supérieure à ioo°, on crut avec raison ne 
pas s’écarter beaucoup de la vérité en pz’enant la moyenne de 
ces deux termes , c’est-à-dire, en considérant la température du 
gaz comme intermédiaire entre ioo° et celle que le thermomètre 
terminait le maiimi 
ï u pouvait corn® 
« ascendantes et des 
ongde s'élever jusqu 
courant de m, t 
da calorimètre t® 
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, d’eau qui J étaient 
de passage indiquait. Un autre thermomètre, placé de même 
à la sortie du gaz, prouva qu’il s’échappait constamment à 
la température de l’eau que renfermait le calorimètre. 
Enfin, il restait à ramener tous les résultats à des termes 
comparables ; car on conçoit qu’il eût été physiquement im 
possible d’opérer toujours sur des gaz à la même température 
et à la même pression , ne fût-ce qu’à cause des variations 
inévitables de l’atmosphère. Ce fut l’objet de deux expériences 
auxiliaires que firent les auteurs sur l’air atmosphérique, à 
différentes pressions. Cette diversité s’obtient aisément avec 
les gazomètres dont ils faisaient usage. Il ne faut que régler 
diversement la hauteur des tubes , qui permettent l’introduction 
de l’air dans les vaisseaux. Dans un essai de ce genre , les 
gazomètres furent réglés de manière à donner une pression 
totale de i m ,oo58 ; car, à la pression naturelle de l’atmo 
sphère, qui était de o m , r ]bi'] , on ajouta celle d’une colonne 
d’eau de3 m ,44 de hauteur, équivalente à o ra ,253i de mercure. 
Le courant était tel, qu’en io' il circulait dans le calorimètre 
3i\io d’air, pris originairement à la température de 5°; ce qui 
équivaut à So^ôS, pris originairement à o°. Ce courant, échauffé 
jusqu’à ioo°, et conduit d’ailleurs exactement comme dans les 
us grande exactitude 
■ntree dans le talo- 
, an peu moindn 
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autres expériences, éleva et maintint la température du calori 
mètre à i6°, 117 au-dessus de l’air qui l’environnait, déduction 
faite de la chaleur communiquée directement par le tuyau de 
conduite. Cet air entrait dans le calorimètre à 96 0 ,go; il en sor 
tait à 22°,83a; il subissait donc un abaissement de 74°,o68. 
Soit C la quantité totale du calorique qui s’en est dégagée; si 
l’on suppose que la chaleur spécifique de chaque gaz reste con 
stante dans l’étendue de l’échelle thermométrique, quand la 
pression est constante , il est clair au un seul litre d’air , soumis 
comme le précédent à la pression î^ooSS, et refroidi de la 
même manière, aurait dégagé -——, proportionnellement aux 
3o,5û
	        
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