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C/est ainsi que les auteurs ont opéré, et ils ont pu d’autant
mieux le faire, que toutes leurs expériences ayant eu lieu sous
la pression naturelle de l’atmosphère , n’offraient que des diffé
rences de pression très-petites. On voit aussi, par la même
raison, que la supposition de la constance des chaleurs spéci
fiques n’a pu leur occasionner aucune erreur sensible dans cette
réduction, puisqu’ils n’en ont réellement fait usage que dans
des limites très-resserrées, à cause du peu de différence des
températures auxquelles le calorimètre était maintenu par
les différens gaz. Enfin, la même raison leur a permis de con
sidérer la même échelle de réduction comme applicable aux
gaz différens de l’air , puisque, leurs chaleurs spécifiques étant
peu différentes , la réduction , si elle n’est égale, doit être
très-peu différente pour chacun d’eux. Après ces explications,
il est facile de comprendre le tableau placé à la fin de ce cha
pitre , dans lequel les circonstances des expériences sont consi
gnées avec les résultats qui s’en déduisent.
La dernière colonne de ce tableau exprime l’excès de la tem
pérature stationnaire du calorimètre sur celle de l’air exté
rieur, en le supposant successivement chauffé par un même
nombre de litres de différens gaz ,pris originairement à la même
pression, à la même température, et refroidis du même nombre
de degrés. En divisant tous ces nombres par le premier d’entre
eux , on aura les chaleurs spécifiques des différens gaz com
parées à celle de l’air, sous des volumes égaux et des pressions
pareilles ; et si on divise ces résultats par la densité de chaque
gaz, en prenant pour unité celle de l’air atmosphérique, on
aura les chaleurs spécifiques des gaz à poids égaux, c’est-à-
dire les quantités relatives de calorique qu’un même poids de
ces gaz, pris à des pressions pareilles, abandonnerait en se
refroidissant d’un même nombre de degrés. Yoici ces résultats ,
donnés par les auteurs du mémoire.