Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

CALORIQUE LATENT»- 726 
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fie étant imiti, 
A poids èjîtii. 
1,0000 
15,3401 
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0,8878 
1,5763 
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11 pareille aitai' ; 
vie, suivant^ 
o,H*i itb ^, 
taux, c’est-à-dire, o,o38. On peut donc , d’après ces données , 
déterminer le nombre de grammes d’eau que les parois repré 
sentent , et, l’ajoutant à la masse m, on aura le nombre m -j- ^ 
de grammes d’eau représenté par l’appareil. Ce nombre était ici 
5965,8. Or, dans la première expérience , déjà citée, on a trouvé 
que 35 t ,99 de cet air , mesurés à la température de la glace fon 
dante et sous la pi’ession deo m ,74o5 , étant ensuite échauffés à 
ïoo®, ont formé un com-ant qui, en se refroidissant de 72°,4i5, 
a maintenu pendant 10' la température du calorimètre station 
naire à i5°,734 au-dessus de celle de l’air environnant ; d’où il 
suit qu’un tel courant fournissait alors au calorimètre précisé 
ment autant de chaleur qu’il en perdait dans l’air. Cette perte 
est facile à déterminer ; car il n’y a qu’à interrompre le courant 
de gaz , puis laisser refroidir spontanément le calorimètre, 
observer la loi de son refroidissement, calculer la courbe loga 
rithmique qui la représente, et conclure de la formule la vitesse 
de refroidissement initiale. En effet, si l’on nomme (ÿ) -f- T la 
température initiale du calorimètre , (j-) étant celle de l’air am 
biant, et qu’après un temps t exprimé en minutes, la première 
de ces températures soit réduite à (j - ) -f- y , nous savons que 
la loi du refroidissement sera 
log y — log T t. 
Dans cette formule , M est le module des tables logarithmiques 
ordinaires ou 2,3o2585; et le coefficient a, comme dans les 
expériences électriques , exprime la proportion du refroidisse 
ment pendant l’unité de temps ; c’est-à-dire, le nombre de 
degrés que le refroidissement enlèverait à un corps que l’on 
maintiendrait pendant tout ce temps aune température élevée 
de i° au-dessus de celle de l’air. Cette proportion ,. d’après la 
nature de la loi, reste la même tant que le refroidissement 
dure. Si l’on veut en avoir l’effet sur la température initiale T , 
il faut tirer de notre équation la valeur de a T , qui sera 
M T ( log T — log j ) _ 
Cl JL j— 11 '' 1 j 
t 
d’où l’on voit que cette valeur sera connue quand on connaîtra , 
outre la valeur initiale de T , une seule valeur de y observée à
	        
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