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DONNÉES PAR LES LAMES MINCES. 63
qui les composent s’élargissent et empiètent davantage les uns
sur les autres. Généralement, soit L la quantité totale de lu
mière blanche qui tombe sur la seconde surface de la lame où
les anneaux se forment. Supposons que la proportion de chaque
couleur simple, qui se réfléchit dans les endroits où la réflexion
de cette couleur est la plus forte, soit la même pour toutes,
ce que l’expérience indique , et exprimons-la par — ; alors
m
î — serala proportion de chaque sorte de lumière qui se trans
met en ces mêmes points. Si la réflexion était partout égale à ce
maximum d’intensité , la quantité totale de lumière blanche ern-
L
ployée dans chaque point des anneaux réfléchis serait — , ce qui
L
cemposerait une teinte blanche, etleresteL formerait aussi
m
par transmission un blanc uniforme. Mais comme la réflexion
de chaque couleur simple a des périodes variables d’intensité ,
dont les maximas répondent, pour les diverses couleurs , à des
épaisseurs inégales, il s’ensuit qu’elles se transmettront en cha
que point de la lame, suivani des proportions différentes ; de
L
sorte que la lumière qui se séparera ainsi de —• sera colorée, et,
L
en se mêlant a la portion L qui est constamment trans-
m
mise, elle en altérera la blancheur. Si m est un nombre un peu
considérable, comme cela a lieu pour toutes les substances dia-
L
phanes sous l’incidence perpendiculaire , — sera une fort pe-
lite quantité comparativement à L
L
, et la portion de lu-
mière colorée qui s’en sépare, se mêlant à une si grande quan
tité de lumière blanche, doit devenir très-peu sensible. C’est
pour cela que sous l’incidence perpendiculaire les anneaux
transmis à travers les lames d’air, d’eau qu de verre, sont si
faibles.