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CALORIQUE LATENT.
liquide, en se refroidissant de i° centésimal. En les divisant
par 75, on aura le nombre de grammes de glace à o° que
ce même refroidissement pourrait fondre , et en les divisant
par 100, on aura le nombre de grammes d’eau liquide qu’il
pourrait amener de la température de la glace fondante à celle
de l’ébullition.
A.u reste, il faut remarquer que ces résultats sont l’expres
sion d’un phénomène très-composé. Par la manière dont les
expériences sont faites , les gaz se contractent en même temps
qu ils se refroidissent, puisqu’ils doivent faire toujours équi
libre à la même pression ; et ainsi leur densité, quand ils entrent
dans le calorimètre , est moindre que quand ils en sortent. Le
réchauffement qu’ils produisent sur cet appareil est donc l’effet
composé de la chaleur qu’ils dégagent en se refroidissant et
en se contractant tout à la fois, au lieu que, pour avoir des
résultats simples, il faudrait pouvoir observer ces effets
séparément ; il faudrait déterminer d’abord la quantité de
chaleur que chaque gaz dégage en se refroidissant dans un
espace donné, par conséquent avec un volume constant, et
ensuite la quantité qu’il dégage quand son volume change, la
température extérieure restait la même. La séparation de ces
deux phénomènes paraît extrêmement difficile ; mais elle est
indispensable pour obtenir des résultats simples, et pour mettre
en évidence les vraies lois qui peuvent régir ces effets. On est
bien sujet à un inconvénient du même genre dans les expé
riences que l’on fait sur les chaleurs spécifiques des corps
liquides et solides, puisqu’ils se contractent nécessairement
à mesure qu’ils se refroidissent ; mais comme la variation de
leur volume est beaucoup moindre, on suppose que le déga
gement de chaleur qu’elle produit est aussi très-faible, compa
rativement à celui qui provient de l’abaissement de tempéra
ture. Cependant, à dire vrai, rien ne prouve qu’il en soit ainsi;
on pourrait même plutôt croire le contraire, en considérant les
énormes quantités de chaleur que l’on dégage des corps , lors
qu’on sépare simplement leurs parties les unes des autres, comme
011 peut le faire par le frottement , la torsion, ou le forage,
qui 11’est autre chose qu’un frottement assez rude pour atra