Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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dans celui-ci un refroidissement progressif, qui bientôt atteint 
un maximum dépendant de la température plus ou moins haute 
de l’air extérieur , et de la largeur du tuyau par lequel les va 
peurs doivent passer pour se propager dans le récipient R. Lors 
qu’on est arrivé à ce terme, qui est indiqué par l’état station 
naire d’un thermomètre fort sensible placé dans le liquide Y, on 
ferme tout-à-coup le robinet r, et l’on ouvre r'. Alors la for 
mation et l’absorption des vapeurs se continuent de même, 
à cela près qu’elles passent dans le récipient B/, au lieu de 
passer dans R, et la température stationnaire du liquide Vn’en 
est point altérée. Quand le courant a circulé ainsi pendant un 
certain temps, que l’on mesure avec exactitude , on ferme le 
robinet r. Alors le liquide V, ne fournissant plus de nouvelle 
vapeur, commence à se réchauffer peu à peu par le rayon 
nement des corps qui l’environnent. En obsei'vant la loi de 
son réchauffement, on en déduit, comme dans les expériences 
deBerard et de De Laroche, la valeur du coefficient qui exprime 
sa vitesse initiale, et l’on connaît ainsi combien la vapeur for 
mée pendant le temps ? lui a enlevé de degrés de sa tempéra 
ture. Or, on peut connaître aussi le poids de cette vapeur en 
pesant le vase qui contient l’acide sulfurique où elle s’est 
précipitée , et voyant de combien son poids s’est accru. Ces 
deux résultats déterminent immédiatement la chaleur spécifique 
de la vapeur par rapport à celle du liquide. Il ne reste qu'à 
assigner sa température, et la pression qu’elle supportait à l’ins 
tant de sa formation. La première est la température même 
du liquide qui s’évapore ; la seconde est la tension de sa 
vapeur pour cette température - là. Maintenant il est clair 
qu’en opérant à diverses températures de l’air extérieur, avec 
des liquides de tensions diverses, et en donnant aux robi 
nets r r' diverses ouvertures connues, on peut varier les expé 
riences de manière à obtenir des maxima différens de tempéra 
ture , et, par suite , des tensions et des densités différentes de la 
vapeur. M. Dulong n’ayant point encore terminé les recherches 
de ce genre qu’il se propose de faire , je ne puis faire connaître 
les résultats auxquels il est déjà parvenu; mais je me trouve 
heureux qu’il m’ait permis d’expliquer ici son ingénieux appa-
	        
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