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MACHINES A VAPEUR. 7 33
quelle on donne issue par un tube EGS', dont le bout infé
rieur est recourbé, et terminé par une soupape S', qui se sou
lève de dedans en dehors. Cette condensation , et cette perte
de vapeur produite par le refroidissement, se continuent jus
qu’à ce que le piston et le cylindre soient amenés à la tempéra
ture de la vapeur même. Quand ce terme est atteint, la vapeur
soulève la soupape S et s’échappe, lentement d’abord, et très-
nuageuse , parce qu’elle est entremêlée avec beaucoup d’air et
de gouttes d’eau. Cependant peu à peu ce souffle devient plus fort
etplus transparent, à mesure que l’air esten grandepartie chassé.
Lorsque l’ouvrier qui conduit la machine reconnaît que ce terme
est arrivé, il ferme le robinet R ; et alors tout l’intérieur du
corps de pompe se trouve rempli de pure vapeur, qu’il ne
s’agit plus que de condenser par un refroidissement rapide ,
pour avoir le vide sous le piston P. Cette condensation est
opérée par l’introduction d’un jet d’eau froide que l’on fait
descendre d’un réservoir élevé Z, à travers le tube ZR'I, fermé
en R' par un robinet que l’on appelle le robinet d’injection.
En le tournant, l’eau froide s’injecte dans le corps de pompe,
précipite en tout ou en partie la vapeur qui s’y trouve , et
3’écoule par le tube EGS', avec l’eau qui résulte de cette con
densation ; alors le vide étant fait sous le piston P, la pression
de l’atmosphère le fait descendre. On le relève de nouveau par
l’introduction d’un jet de vapeur; car si, comme nous l’avons
supposé , l’eau est entretenue bouillante dans la chaudière, la
vapeur a une force élastique au moins égale à celle de l’air :
son introduction sous le piston P suffit donc pour com
penser la pression de l’atmosphère ; et ensuite l’excès de poids
du piston P'relève P en haut, comme dans nos premières sup
positions. Mais , d’un autre côté, la vapeur , si elle était trop
chaude, pourrait, par sa force élastique , faire crever la chau
dière ; c’est pourquoi on adapte au haut de celle-ci une sou
pape de sûreté S", qui s’ouvre de dedans en dehors avec un
effort connu et déterminé. Quand la force élastique de la
vapeur est égale à celle de l’air extérieur, ou plus faible, la
soupape reste fermée ; mais dès que cette force devient égaie
à celle de l’atmosphère , plus la résistance que la soupape