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MACHINES A VAPEUR. *3*
sphérique, et de faire mouvoir le piston par la force de la
vapeur seule, en l’introduisant tour à tour sur l’une et l’autre
de ses surfaces , et faisant au même instant le vide sur la face
opposée. Il enferma donc la tige de son piston dans une boite à
cuir, pour ôter tout accès à l’air dans l’intérieur du cylindre,
et, employant une vapeur d’une élasticité égale, ou même un
peu supérieure au poids de l’atmosphère , il obtint tour à tour
une force égale ou même supérieure à celle du vide , de bas en
haut et de haut en bas. Il put donc, en communiquant ce
mouvement par des tiges rigides , produire une force dans
chacun de ces deux sens; au lieu que, dans l’appareil de New-
commen , le temps de l’ascension du piston était entièrement
perdu pour l’effet, puisqu’il était alors simplement soulevé par
l’excès de poids de l’autre bras du grand levier. Il y eut éco
nomie de temps , et aussi d’argent, puisque chaque course du
piston devint active , et que la quantité de chaleur employée à
le maintenir chaud pendant son ascension ne fut pas perdue
inutilement. M. Watt eut également soin d’entourer le cylindre
d’une enveloppe de bois ou de toute autre substance peu con
ductrice du calorique, dans l’intérieur de laquelle il introduisit
même quelquefois la vapeur, comme moyen de réchauffement.
Il fit aussi dans la construction des diverses pièces de l’appa
reil des améliorations considérables, et il parvint ainsi à
économiser plus des deux tiers de la vapeur que la machine
de Newcommen exigeait. La machine à vapeur , ainsi perfec
tionnée , est représentée dans la figure j3 , dont l’explication
sera maintenant comprise sans difficulté.
FD est la chaudière dans laquelle l’eau est convertie en vapeur
par la chaleur du fourneau placé au-dessous. Cette chaudière
est quelquefois faite en cuivre, rhais plus fréquemment en fer.
Son fond est concave , et la flamme circule autour ; elle a vers
son sommet une soupape de sûreté que l’on charge plus ou
moins, selon le degré de force élastique que l’on veut obtenir.
Pour que la marche de l’évaporation soit constante , il est né
cessaire que l’eau de la chaudière soit toujours maintenue au
même niveau , et conséquemment qu’ on lui en fournisse de
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