Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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levier AB; car chaque point de ce levier, décrivant un arc de 
cercle autour de son centre de rotation, tendrait à détourner le 
point d’attache de la verticale , et cet effort casserait la machine. 
C’est pourquoi, dans l’appareil de Newcommen , où le piston 
ii était actif que dans la descente, sa communication avec lo 
grand levier était établie par une chaîne enroulée sur un arc de 
cercle. Mais dans la machine actuelle , la rigidité des tiges 
exige un autre mode de communication. C’est à quoi M. Walt 
est parvenu par un assemblage particulier de tringles métalli 
ques mobiles les unes sur les autres, et combinées de manière 
à compenser par leur jeu le défaut de verticalité parfaite du 
mouvement du grand levier. La figure représente encore plu 
sieurs autres pièces très-utiles à la bonne disposition de 
l’appareil, telles que des volans pour régulariser le mouve 
ment , et des roues pour le transmettre ; mais ces détails 
appartenant à la mécanique, je dois les passer sous silence 
pour pouvoir indiquer d’autres points qui tiennent à la phy 
sique , et qui ne sont pas moins essentiels. 
Le plus important est la détermination de la température 
à laquelle il est le plus convenable d’employer la vapeur. En 
effet , plus elle est chaude, plus sa force élastique est consi 
dérable , et par conséquent plus elle produit d’effort sur la 
surface du piston qu’elle presse, le vide étant toujours de 
l'autre côté. Mais aussi il faut consommer plus de charbon 
pour produire une x r apeur plus chaude ; en sorte que le profit 
ou le désavantage de la température est un élément à déter 
miner. Pour y parvenir, considérons d’abord que la quantité 
de chaleur nécessaire pour produire un volume déterminé de 
vapeur aqueuse dépend de deux choses : i°. de la densité que 
cette vapeur doit nécessairement avoir sous la force élastique 
qu’on veut lui donner : 3°. de la quantité de calorique néces 
saire pour la produire et pour l’amener à cet état. La première 
question se trouve résolue par les formules que nous avons 
trouvées en traitant de la formation des vapeurs, page 3^9 du 
Livre premier. Soit (ar) le poids d'un centimètre cube de vapeur 
aqueuse, réduite à la température de o°, en lui supposant une 
force élastique égale o°,76. Pour toute autre température t f
	        
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