Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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de celle de l’atmosphère, on n’a pas pu porter à cet égard les 
essais bien loin ; car il est évident que pour le faire , il faudrait 
que les parois des chaudières fussent renforcées. On a fait en 
Angleterre des épreuves plus étendues. On y possède de nou 
velles machines imaginées par M. Woolf, dans lesquelles, 
dit-on, la vapeur est employée avec une force élastique très- 
supérieure à celle de l’atmosphère, et avec une grande écono 
mie de combustible. Mais il existe en outre, dans ees machines , 
une particularité qui semble aussi devoir être avantageuse ; 
c’est que le piston, au lieu d’être immédiatement en contact 
avec la vapeur aqueuse , qui fond et dissout les graisses dont 
on l’imprègne, reçoit le mouvement par l’intermédiaire d’une 
colonne d’huile ou de tout autre corps gras , peu évaporable , 
sur lequel la vapeur agit par pression. Pour cela , le cylindre 
où le piston se meut est enveloppé d’un cylindre plus gros, 
avec lequel il communique , et dans lequel on met l’huile, qui, 
montant et descendant sans cesse dans le cylindre intérieur , le 
tient toujours lubrifié. Quoi qu’il en soit, l’avantage ou le 
désavantage des hautes températures ne tardera pas à être 
décidée d’une manière infaillible, car on construit en ce mo 
ment , à Cornouailles, des machines qui doivent employer la 
vapeur sous la pression de sept atmosphères. Dans ce cas , la 
déperdition de calorique par le rayonnement deviendra aussi 
beaucoup plus considérable ; et il faudra probablement y avoir 
égard dans l’appréciation des résultats. 
Pour nous faire une idée de l’abaissement de produit qui 
résulte de ces diverses circonstances, rappelons-nous qu’un 
gramme de charbon développe en brûlant 7226 degrés de cha 
leur, suivant les expériences de MM. Lavoisier et Laplace. Or 
un gramme d’eau à ioo°, pour se réduire en vapeur, absorbe 
667° ; donc un gramme de charbon devrait réduire en vapeur 
près de i3 grammes d’eau, en supposant que sa chaleur fut 
toute employée, et que l’eau fût déjà portée à la tempéra 
ture de 1 oo°. Mais , d’après un grand nombre d’essais faits 
sur les machines les plus parfaites, et avec les fourneaux les 
mieux construits, M. Clément a trouvé qu’un kilogramme 
de charbon de bois ne produit que 6 ou 7 kilogrammes de
	        
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