DE LA DIFFRACTION DE LA LUMIERE.
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SUPPLEMENT A L’OPTIQUE.
Sur la diffraction de la Lumière, par MM. Pouilleï
et Biot.
Xja diffraction est une modification que les rayons lumineux
subissent quand ils passent près des extrémités des corps ; ils
sont alors pliés et déviés de leur route directe , et le sont iné
galement , selon leur diverse réfrangibilité. Grimaldi paraît
avoir le premier remarqué ces phénomènes. Il en a décrit les
principales apparences avec autant de sagacité que d’exacli-
iude ; mais il n’avait pas assez de connaissance des propriétés
de la lumière pour les approfondir. Newton s’en occupa en
suite, et en fit l’objet spécial du dernier livre de son Optique.
Selon sa méthode ordinaire, il chercha à fixer par des mesures
les détails des faits , avant de les assembler en théorie générale.
Il montra très bien l’influence de l’inégale réfrangibilité des
rayons sur la progression des teintes composées , produites
par la diffraction de la lumière blanche. Toutefois , lorsqu’il
publia l’Optique, il n’avait pas pu encore arrêter complète
ment ses idées sur ce sujet; il nous apprend lui-même que ses
expériences ne lui paraissaient pas suffisamment précises ,
qu’il avait le dessein de les répéter , de les varier; mais d’autres
idées s’étant emparées de lui, il les a laissées imparfaites , ce qui
ne l’a pas empêché de nous les transmettre avec la plus grande
fidélité. Les physiciens qui, depuis , se sont occupés de la même
matière , semblent s’être plutôt attachés à discuter les obser-
valions de Newton qu’à les refaire , et à leur donner ce degré
de précision qui, en fixant invariablement les faits , en les
circonscrivant avec netteté , peut seul assurer à la théorie des
fondemens stables, parce qu’il la rend l’expression précise et
fidèle de la nature» C’est pour remplir, au moins en partie ,