Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

DE LA LUMIÈRE. 
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neux. En éloignant encore un peu plus le verre dépoli, cet 
espace, vu à la loupe, commence aussi à se strier d’une mul 
titude de lignes noires excessivement déliées, séparées par des 
lignes lumineuses d’une finesse extrême,dont l’éclat, beaucoup 
moins vif que celui des bords , paraît aller en se dégradant 
depuis ces bords jusque dans l’axe du faisceau transmis. A 
partir de là , si on s’éloigne davantage, le nombre des bandes 
intérieures, tant noires que brillantes, diminue de plus en 
plus , et en même temps la largeur de celles qui restent aug 
mente; ce qui les rend plus faciles à distinguer. Bientôt on 
arrive à un terme où elles sont assez distinctes pour être compi 
lées ; par exemple, il nous est arrivé d’en compter jusqu’à 
neuf, dont cinq brillantes et quatre noires, dans l’étendue 
d’un millimètre que nous supposons ici à l’intervalle des 
biseaux ; et la largeur totale de l’image rectangulaire qui les 
renfermait était aussi d’un millimètre. Dans ce cas, l’axe du 
faisceau était occupé par une des lignes brillantes, puisque 
leur nombre était impair; mais en s’éloignaitt davantage, ce 
nombre se réduit, parce que les deux noires qui avoisinent la 
bande lumineuse centrale, se rapprochant l’une de l’autre, finis 
sent par se joindre et par se superposer. On perd ainsi cette 
bande brillante et une noire , de sorte que le nombre total des 
bandes se réduit à sept, savoir, quatre brillantes et trois 
noires, dont une au milieu du rectangle lumineux. Le passage 
d’un de ces états au suivant ne se fait pas d’une manière 
brusque , mais successive , et dans l’intervalle il se fait un mé 
lange momentané des bandes brillantes et noires , qui produit 
une sorte d’uniformité. Pour l’expérience que nous rapportons 
ici comme exemple , la séparation en sept bandes avait lieu à 
9i m “,8 du contact; la largeur entière du rectangle lumineux 
était toujours de i mm , et les sept bandes semblaient se la par 
tager également, du moins autant qu’il était possible d’en juger 
à l’œil. En continuant d’éloigner la lame de verre, la sépara 
tion des brillans et; des noirs devient de moins en moins tran 
chée, l’ordre établi entre eux se trouble de nouveau; mais, 
dans cette confusion même, si l’on suit les modifications de la 
bande noire centrale, on la voit à son tour diminuer graduel
	        
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