Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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I)E LA LUMIÈRE. 
hors du cadre. Nous en dirons autant du premier brillant qui 
le suivait, et qui a paru dès l’origine à une plus grande distance 
du même biseau. Il faut bien qu'il ait continué aussi à se port* r 
plus loin , et que nous le retrouvions à une distance encore 
plus grande hors du cadre. Ce sera donc lui qui devra former 
la première frange extérieure , à la suite du même noir auquel 
il succède, et ce noir devra être la première bande noire exté 
rieure , à partir du coin lumineux qui a rasé le même biseau. 
C est ce qu’exprime la figure 82 , où ce système de bandes est 
représenté à part. Mais on peut encore rendre ce résultat sen 
sible aux yeux, indépendamment de tout raisonnement .quel 
conque. Il n’y a qu’à construire graphiquement, sur une échelle 
exacte , les intervalles successifs de brillans et de noirs que 
nous avons observés, en les plaçant aux distances précises des 
biseaux où ils ont paru le plus distinctement ; alors toutes les 
positions successives d’un même noir se retrouveront aisé 
ment , puisqu’elles devront former une ligne droite ; et il en 
sera de même des positions successives d’un même brillant. O11 
connaîtra par-là comment chaque bande, soit noire, soit 
brillante , s’est progressivement dilatée, quelle direction elle a 
suivie, et de quel point elle part entre les biseaux. On devra 
donc retrouver ainsi la cause des disparitions successives que 
les bandes comprises dans l’intérieur du cadre ont éprouvées, 
et eu déduire la loi progressive de leurs réductions. C’est ce 
que nous avons fait dans la figure 83 ; et ses indications, con 
formes aux conséquences que nous venons de tirer, nous ont 
tracé matériellement la marche du phénomène, telle que nous 
l’allons décrire. 
Lorsqu’un faisceau de rayons, sensiblement parallèles, passe 
perpendiculairement entre deux biseaux , éloignés l’un de 
l’autre d’un millimètre , ce faisceau se divise, dans son pas 
sage , en une multitude de faisceaux plus petits , séparés par 
des intervalles noirs, comme si la lumière qui les compose 
était alternativement condensée et raréfiée à des distances de 
chaque biseau , successivement croissantes. La condensation 
est la plus forte près de chaque biseau , et c’est là que la
	        
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