on connaîtra ii 
ferme est cou- 
» encore beau- 
ir la suite, mais 
DONNÉES PAR LES LAMES MINCES. jq 
Car dans des recherches de ce genre, (n) peut être supposé 
égal à l’unité. Concevons maintenant que sous l’incidence i la 
même lame réfléchisse une autre teinte , par exemple , celle qui, 
sous l’incidence perpendiculaire , répondrait dans la table à 
uvons exposer, 
fer l’épaisseur e 
efléchit sons l’ii- 
ile réfraction est 
, la table déter- 
l’on a ensuite 
(eV 
une épaisseur (eY d’air , et par conséquent à une épaisseur -— 
x ' n 
de la substance proposée ; alors il devra exister entre e et 
i e y 
-— la relation générale que nous avons trouvée entre les épais 
seurs successives auxquelles passe progressivement une même 
teinte par le changement d’incidence , c’est-à-dire, 
(eY . f io5 n\ . 
e — ; sin u — [ —— Jsin r. 
n cos u \ îoo y 
dans le mica,le ’ 
Egalant cet’e valeur de e à la précédente, puisqu’en effet la 
censé égala j,53 
lame observée dans ces deux incidences est la même, n disparaît. 
substance asse: 
're, sous Vinci- 
air qui réflécli: 
ainsi celle de 1î 
(e)' 
et u reste cos u = -—. 
( e ) 
On connaîtra donc ainsi l’angle u , et par conséquent sin «. 
Or , r étant l’angle de réfraction dans la lame , on a en général 
i . . . fio5-f-n\ , . 
sin r z~ - sin i , par conséquent sin u — ( ) sin i. 
n v iob n y 
émes de ponce 
Ile qu'aurait me 
;ela tient au yen 
raction du verre 
Substituant dans cette équation, pour sin u sa valeur calculée , 
pour i sa valeur obsservée, on en tirera n , et par suite e. 
Dans le cas où l’on compare l’incidence perpendiculaire et 
celle de go°, sin i devient égal à i ; on a donc 
(eY . io5-f-re (e) 
cos u — —— sin u = e = —. 
(e) iob n n 
liner à la f°‘ s le 
»5, lorsqu’on a 
ses incidences, 
et sous celle de 
r cas, la w n[i 
ura d abord 
n 
Ces formules détermineront les deux inconnues n et n, c’est- 
à-dire le rapport de réfraction de la lame et son épaisseur. 
Par exemple , en divisant une lame de mica, j’en détachai 
une fois un feuillet de peu d’étendue, qui me parut réfléchir 
des couleurs très-vives. Pour les mieux observer, je le présentai 
horizontalement à la lumière blanche des nuées, en le plaçant 
au-dessus d’un corps noir , et je le regardai successivement