LOIS LES PLUS SIMPLES EN RÉSULTANT.
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de leur chaleur totale, qui est, à une constante près,
J"G il dm —J‘Cl nids d r L ) — C e?crj'u cïL = CU(2E d<j).
Mais, pour les tronçons ayant à leur intérieur une source calo
rifique, d’un débit donné S(/, X, Y) par unité de leur volume, il
faudra ajouter enfin à (i5) le terme S(/, X,.Y) (2s c/<r), avant
d’égaler le tout à cette dérivée C ^(2 s ch) de la chaleur du tron
çon. Et l’on aura ainsi l’équation aux dérivées partielles cherchée,
régissant les températures moyennes U de la plaque le long des
petites droites qui la traversent parallèlement aux génératrices des
tronçons, savoir :
(16)
Grâce à l’emploi de tronçons ainsi orientés (suivant les courants
de chaleur qui traverseraient la plaque si ses feuillets étaient iso
thermes), la démonstration s’applique directement, comme on voit,
même au cas exceptionnel où, les dérivées de U en X et Y s’annu
lant, les courants s’éloignent notablement du parallélisme aux faces
de la plaque : ce qui met en défaut l’autre démonstration égale-
décroissait, dans un corps se refroidissant, le rapport de sa vitesse de refroidisse
ment — à son excès actuel u de température; mais la loi est, ici, plus com
pliquée.
L’expression finie de u ne sera simple que si l’on peut négliger, sous le radical,
soit le terme variable, de manière à retomber sur la loi de Lambert, soit le terme
constant. Et, dans ce second cas, il viendra la formule
du
Dans le cas, analogue, où l’expression du flux —Cra— émis par un corps se
refroidissant serait ÀÂ'ffîî 1+2e , l’on trouverait, comme formule finie du refroidis
sement,
kk’ cr