Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

H>8 FORMULE DE l’ÉCHAUFFEMENT DU A UNE SOURCE ÉLÉMENTAIRE. 
refroidissement, qu’il nous a été donné d’y aborder. En effet, la 
formule approchée (do) y fait, lors d’un siège élémentaire d’émana 
tion, u fonction des deux seules variables t et r; car l’auxiliaire f, 
donnée par (5^), (54) ou (53), dépend encore des coordonnées 
tj, ... par l’expression unique (£ — a ) 2 + ( r l — [3) 2 + . - • ■> carr é de 
la distance/• de chaque point (£, -q, ...) au siège primitif (a, [3, ...) 
de la chaleur ainsi en train de se dissiper. Or la question du re 
froidissement n’est évidemment que le cas le plus simple de celle 
de réchauffement, savoir, le cas où les sources données sont 
intermittentes, et actives seulement durant de courts instants, 
séparés par de longs intervalles. 
224. Échauffement produit par une source élémentaire dont on 
donne les débits successifs. — Puisque, aux distances notables 
d’une source de petite étendue, les températures u dépendent des 
coordonnées x,y',z par la variable unique r, et qu’elles se trouvent 
ainsi indépendantes de la forme de la source ou du mode de dis 
tribution de son débit dans toute l’étendue de son siège, on peut 
admettre qu’elles seront les mêmes, soit quand ce débit pro 
viendra d’actions chimiques intérieures, soit quand il sera transmis 
d’une certaine distance par une lige métallique s’insérant dans le 
corps expérimenté, pourvu que celui-ci soit alors protégé contre 
le rayonnement de toutes les parties de la tige autres que son 
extrémité. C’est le dernier cas qui se produisait, comme on sait, 
dans les expériences du physicien de Senarmont sur les plaques 
cristallines. 
Mais revenons à la formule (70) (p. 104), pour voir ce qu’elle 
devient quand les sources se réduisent ainsi à une seule, élémen 
taire, ou que, par exemple, la fonction S (9, a£, b7), ...) est nulle 
en dehors des limites £ = oc, tq == (3, ... et ç = a-t-afa, ¡3-|-âf(3,.... 
Appelons alors <];(/) le débit de la source (par unité de temps) à 
l’époque l, dans le milieu isotrope, ou ^(8) le produit 
S ( 0, acc, ¿p, . . .) c/a cl$ .... 
La formule (68) (p. io3), en y remontant des variables d’in 
tégration (o, g/, ... aux variables primitives a = £ -f- 2 tu y/-,
	        
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