Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

ÉCHAUFFEMENT PERMANENT d’üN CORPS ISOTROPE INDÉFINI. 
109 
ß = 71 + 2 w' y/T, . - ., donnera 
F(0, T, £, 7), . . .) 
(ï—ai 2 +ir,—ßi 2 + 
(ay/irx)'' 
4T S (0, «a, 6 ß,...) tfa d$ ... 
■HQ) 
(■2 /tut)" 
et la relation (70), si l’on convient d’y regarder t comme expri 
mant le quotient > sera dès lors 
C 
. t C r- 
<7 3 ) U 
¿(0+0 
G (isJ-kz)" >4 
-/ 
)'* 
son dernier membre se déduisant du second par l’adoption de t, 
comme variable d’intégration, à la place de 0. 
Telle est donc la formule qui, à diverses distances r de la source 
élémentaire donnée, relie la température actuelle u aux débits suc 
cessifs antérieurs ^ (9) de cette source ( 1 ). 
225. Cas particulier d’un état permanent. — Quand, à partir 
d’un certain moment, la source se règle et prend un débit Q 
constant, ou que, désormais, <]; (t) = Q, l’état calorifique finit lui- 
même, comme on sait, par être permanent et les températures u 
tendent vers des valeurs indépendantes de t. A des distances quel 
conques r autour d’une source élémentaire, ces valeurs limites 
constitueront donc une fonction de la variable unique r. Gela ré 
sulte déjà de la démonstration précédente, applicable quelque 
grand que soit t et, par suite, même aux valeurs limites de u. 
Mais on peut aussi le démontrer directement, comme il suit : 
Q 
Appelons p. 2 le rapport constant — ; et supposons la source con 
centrée, à l’origine O des coordonnées tj, ..dans un petit 
espace, que limitera toujours une certaine figure isotherme a- de 
C) Cette formule (73), dans le cas particulier d’un corps athermane et d’une 
conductibilité extérieure nulle (où c = 00), conduit à quelques lois très simples 
de propagation, que l’on trouvera au n° 467* de mon Cours d’Analyse infinitési 
male pour la Mécanique et la Physique (t. II, Calcul intégral, Compléments, 
p. 47 1 * à 478*)- On l’applique aussi, sans difficulté, au cas où le siège delà source 
élémentaire considérée de chaleur se déplace d’une manière quelconque, dans le 
corps ou milieu indéfini qu’elle chauffe (même t. II, p. 517* à 520*).
	        
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