Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

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SURFACES, LIGNES ET POINTS ISOTHERMES 
époque les points qui s’y trouveront à une température désignée 
quelconque correspondront à une même valeur de r. Donc, 
vu (i 10), le lieu des points isothermes aura, dans tous, l’équation 
236. Surfaces isothermes d’un corps massif et points iso 
thermes des barres qu’on en extrait. — S’il s’agit, d’abord, d’un 
corps massif, les surfaces isothermes y seront bien, comme on 
avait été déjà conduit à le penser (t. I, p. 200), des ellipsoïdes 
concentriques et homothétiques à l’ellipsoïde principal. 
S’il s’agit de barres passant par l’origine et orientées dans toutes 
les directions par rapport au système des deux ellipsoïdes prin 
cipal et des conductibilités (supposé construit autour de l’origine 
dans le corps d’où les barres auront été extraites), a se trouvera, 
d’après (4o) (p. 90), remplacé par le demi-diamètre, A, de l’ellip 
soïde des conductibilités, coïncidant avec l’axe de la barre. Et, par 
X 2 
suite, le lieu — const. clés points isothermes, sur les axes de 
toutes les barres, sera constitué par la famille des ellipsoïdes 
concentriques et homothétiques à celui des conductibilités. Il • 
est vrai que u, ou plutôt U, dans l’équation (4o) (p. 90), désigne 
alors la température moyenne sur une petite section plane, d’une 
certaine orientation, coupant l’axe au point d’abscisse X, et non 
la température vraie u en ce point. Mais la différence U — u est 
insensible. 
237. Courbes isothermes des plaques. — S’il s’agit enfin de 
plaques planes taillées en sens divers dans le milieu, et que l’on 
transportera fictivement, sans changer leur orientation, de ma 
nière à y faire coïncider les origines O, a et b seront, comme on 
a vu au n° 208 (p. 84), les demi-axes A, B de l’intersection que 
fait le feuillet moyen de la plaque dans un ellipsoïde semblable à 
celui des conductibilités et passant par les deux ellipses de l’ellip 
soïde principal qui, tangentes à l’intersection de celui-ci par le 
même feuillet moyen, se trouvent être, en même temps, conju 
guées à l’axe d’asymétrie. Les lignes isothermes 
X 2 Y 2 
iV 2 B 2 ~ const- >
	        
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