Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

LOIS DUS TEMPÉRATURES, DANS LES SOLIDES QUI SE DÉFORMENT. 161 
chiite à son expression Ici plus simple, 
p Y i = KA 2 0. 
(io bis) 
Or il suffit d’y prendre y, de la forme c9, puis de faire oc — G, 
pour obtenir l’équation (g) de Poisson. 
258. Équation indéfinie des températures, dans un solide élas 
tique déformé ou vibrant. — Avant de passer aux applications les 
plus simples des équations précédentes, jetons un coup d’œil sur le 
cas d’un solide déformé élastiquement, c’est-à-dire ayant ses par 
ticules écartées de leur état naturel par les petites déformations à, g 
(p. 146), qui, dans l’état de mouvement du solide, seront six 
fonctions du temps t et des coordonnées x, y, z. Nous nous bor 
nerons ici ('), comme il a été dit (p. 146), à l’hypothèse de tem 
pératures absolues assez basses ou, plutôt, assez éloignées de la 
température de fusion du corps, pour que l’énergie interne U de 
l’unité de masse soit la somme -f- l F de deux fonctions distinctes, 
dépendant seulement, l’une, ( I>, des déformations à, g, et l’autre, W, 
de la température 9. 
L’expérience montre que, dans un solide éloigné de son point 
de fusion, pris d’ailleurs à une température initiale uniforme et 
entouré de corps ou d’éther à cette température, les déformations 
élastiques soit lentes, soit même rapides ou corrélatives à des 
vibrations sonores, n’entraînent pas, comme dans les gaz, d’ap 
préciables échauffements ou refroidissements, et que, par suite, 
elles ne provoquent pas des flux calorifiques sensibles à travers 
les éléments plans du corps. C’est dire que la production de pe 
tites valeurs quelconques des à, g, à une température initiale 9 
constante, laisse négligeable, dans l’équation fondamentale (1) 
(p. 149)? le terme, c/Q, exprimant la chaleur gagnée par une 
particule sur ses voisines. Or, alors, vu la constance de 9, la 
différentielle c/U n’est autre que sa première partie c/fl>, et l’équa 
tion (1) devient 
M d<î> = M 
c/te = 
(‘) C’est-à-dire dans le texte, non dans la grande note ci-après, où la question 
sera poussée plus loin. 
B. — II. 
I I
	        
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