264 RESIST. DU CYLINDRE AUX OSCILLATIONS D’UN FLUIDE IMPARFAIT.
Il est très douteux qu’au-dessous de ces limites, même un peu
au-dessus, l'hypothèse de la continuité des mouvements soit, en géné
ral, vérifiée ( 1 ).
( p. 254), pour le cas en question du mouvement uniforme, l’établissement, près
du cylindre, d’un régime sensiblement permanent, consistant dans l’immobilisa
tion presque complète, par le cylindre, du fluide ambiant.
(’) C’est ce qui paraît résulter de la courte Note finale de sir Georges Stokes,
ajoutée par M. C. Wolf à la traduction française du Mémoire cité de l’éminent
professeur de Cambridge : celui-ci ne s’y explique que par des remous, c’est-à-dire
par des tourbillonnements ou des ruptures de fluide, l’écart notable existant entre
les valeurs théoriques de la résistance, calculées d’après les vrais coefficients s de
frottement, et celles qu’on déduit des meilleures expériences sur les oscillations
des tiges minces dans l’air. Voir, à ce sujet, la page 419 du Tome Y cité des Mé
moires publiés par la Société française de Physique. C’est, comme il a été dit
plus haut (p. 119), aux pages 32i à 332 du même Volume que se trouve exposée
la remarquable intégration d’où M. Stokes déduit (p. 333 ) la Table numérique
des valeurs de P et de Q : sa variable m est notre - ev- \Jk, ou — et ses
quantités k, k' sont nos coefficients 1+ 4Q, 4P-