28'2 ÉQUATION DUS FORCES VIVES DANS LE MOUVEMENT LUMINEUX :
tentielle d’élasticité de l’éther vibrant, ou à quelle condition générale
doivent satisfaire, dans ce but, les coefficients A, B, ... de résistance
de la matière pondérable.
Nous pouvons, considérant à part une particule quelconque du
milieu transparent proposé, admettre que l’on ait orienté les x, y, z
suivant ses axes de symétrie optique : alors D, E, F s’annulent, et,
A, B, C devenant les trois coefficients principaux de résistance, les
coefficients i + A, i + B, i-t-C des premiers termes de (8) sont
entre eux comme les inverses des carrés a 2 , b 2 , c 2 , qui figurent dans
les précédentes équations (20) de mouvement. Cette condition (8) se
trouve ainsi réduite à
1 d\ 1 clt]
a 2 dx b 2 dy
1 d-(\ 1 dZ,
(T")
b 2 dy c 2 dz
Les trois dernières des six déformations (y') n’y paraissent plus et
restent entièrement arbitraires. Donc les termes de (¡3) qui con
tiennent leurs carrés forment une somme positive, mais pouvant s’an
nuler indépendamment des quatre autres termes. Par suite, il faut et
il suffit que l’ensemble de ceux-ci, savoir
soit essentiellement positif. Si nous y développons le quatrième carré,
nous aurons ainsi, après avoir divisé par 2, l’inégalité
di\ d'C dZ d\ d\ dr\
(y’")
1 'S '- -s 4 ^
dy dz dz dx dx dy ’
où les trois dérivées respectives de £, 7), Ç en x, y, z seront liées par
la relation (y"). Pour simplifier l’écriture, divisons (y ff/ ) P ar æ 2 & 2 c 2 , et
posons ensuite
La relation (y") donnera Z = — X — Y; et l’inégalité (y'"), déjà
devenue
prendra la forme
c
(0')