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ERRATA.
rieure k de la sphère, même à égalité de son degré de poli avec le cube (voir, à
ce sujet, le Tome II, p. 196). »
ERRATA AU TOME II.
Page 5i, à la ligne 2 de la Note, rétablir l’exposant 2 de R.
Page 87, ligne i3, au lieu de « du », lire <• dz ».
Page 96, dernière ligne, au lieu de « dernière partie », lire « IX e partie ».
Page 107, ligne 9 en remontant, au lieu de « première et dernière », lire
« II e et IX e ».
Page i56, ligne 4 en remontant, ajouter en Note ceci : « A une approximation
plus élevée, on pourrait, appelant 0 e la température de l’éther en (x, y, z) et
L(0 e —0) la chaleur que cède directement l’éther à l’unité de volume du fluide,
ajouter au second membre de l’équation indéfinie (3) le terme L(0 e —0). Mais
l’excédent de complication introduit par ce terme rendrait sans doute l’équation
bien plus difficile encore à utiliser qu’elle ne l’est déjà. »
Page 192, à la fin de la formule (4 2 )> le radical porte sur la différence z — Z.
Page 268, à la fin de la Note concernant mes premiers travaux sur la lumière,
j’aurais pu ajouter les deux alinéas suivants :
« Je n’avais, à cette époque, aucune connaissance des expériences ou des idées
de du Buat sur les poupes et proues fluides, non plus que de la théorie corré
lative de Poisson sur les oscillations simultanées d’un pendule et de l’air ambiant:
de sorte que, tout en assimilant à la résistance d’un solide, immergé dans un
fluide en mouvement, celle des molécules pondérables aux vibrations de l’éther,
je ne pouvais m’appuyer simplement, comme je le fais ici, sur cette analogie,
pour attribuer à chaque molécule pondérable une résistance proportionnelle à
l’accélération relative de l’éther par rapport à elle. Et je suppléais à mon igno
rance de la loi de du Buat, en admettant que, dans les corps transparents,
chaque molécule pondérable vibre, sous l’action de l’éther ambiant, à l’unisson
de cet éther, ou synchroniquement avec lui, les déplacements propres -q,, Ç, de
la molécule dont la situation d’état naturel est (x, y, z), se trouvant ainsi fonc
tions linéaires des déplacements, r,, Ç, de l’éther de même situation naturelle:
hypothèse que nous savons (t. I, p. 66) revenir au principe de du Buat. A une
approximation plus élevée, comme, par exemple, dans l’explication des phéno
mènes de dispersion et de polarisation rotatoire, tj,, Ç t étaient censés dé
pendre des déplacements de l’éther non seulement en (x,y,z), mais aussi tout
autour, dans une très petite étendue; de sorte que r ln devenaient des fonc
tions linéaires de m, Ç et des dérivées de r n Ç en x, y, z.
» J’ai donné à ma théorie des ondes lumineuses sa forme actuelle, d’abord en
juin i885, dans la Notice supplémentaire, sur mes Travaux, distribuée aux
Membres de l’Académie des Sciences pour ma candidature à cette Académie
( p. 18), puis, avec plus de détails, dans mes Notes de 1893 (Comptes rendus de
l’Académie des Sciences, t. CXVII, p. 80, i38 et 193), c’est-à-dire quand je suis
revenu à l’Optique, après des études nombreuses d’Hydrodynamique et, en par
ticulier, après deux Articles d’avril i885 sur la résistance des fluides aux petits
mouvements d’un solide immergé (mêmes Comptes rendus, t. C, p. 935 et 974). »
Page 315, à la fin de la Note, ajouter l’alinéa suivant :
« Il est possible, toutefois, que le motif purement extrinsèque, donné ici, du
rejet de la théorie des ondes par Newton, soit resté implicite dans son esprit,
bien que des plus naturels. Mais l’objection capitale qu’il adresse à cette théorie,