Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

TRANSPARENT ISOTROPE : RÉFLEXION TOTALE. 
Alors les expressions (102), (106) de P, Q deviennent 
(iog) P = cosa-+-/—1 sin a = e 2 ^- 1 , Q = cos ¡3 -+- /—1 sinfî 
si l’on pose 
(no) 
cosa = 
sin a = 
COS p = 
sin ¡3 = 
cos 2 i -+- N 2 
i — N 2 ’ 
2 cosí/sin 2 i — N 2 
i —N 2 
N 2 (i -t- N 2 ) — ( 1 -+- N 4 )sin 2 i 
N 2 (i — N 2 ) — (1 — N 4 )sin 2 i ’ 
2N 2 cosí \/sin 2 i — N 2 
N 2 (i—N 2 ) — (1—N 4 ) sin 2 i' 
35 7 
ePv'-i, 
quantités dont les carrés ont bien pour sommes respectives l’unité. 
Tandis que la partie réelle de f(t— Ix — my) sera le déplacement 
dans le rayon incident 
( 111 ) 8 = cos/r(£—Ix — my), 
le déplacement dans le rayon réfléchi sera évidemment celle de 
P— my) ou de Q/(t + Ix — my), savoir 
(112) 8'= soit cos [a — my)], soit cos [ ¡3-+- k(t -4- Ix — my)]. 
La réflexion totale produit donc les avances de phases respectives 
exprimées par les deux angles généralement inégaux a, (L Les for 
mules (110) définissant ceux-ci sont dues à Fresnel, qui les a déduites, 
par une sorte de divination, des précédentes (109) de P, Q, et en a 
contrôlé de curieuses conséquences par l’observation. De nombreuses 
k(t—my), plus un terme constant,propre à \ v ou à r\ t , ou à Sur chaque feuillet 
x = const. de la couche superficielle du second milieu, s’observeront donc (si 
l’onde incidente est latéralement indéfinie et d’amplitude uniforme) des déplace 
ments fonctions de t — my, ou paraissant s’y propager, dans le sens tangentiel 
des y positifs, avec la vitesse • 
De même que le coefficient d’amplitude à introduire comme facteur commun, 
dans les expressions de tous les déplacements (incidents, réfléchis, réfractés), est 
non pas absolument constant, mais variable lentement et à volonté d’un point à 
l’autre d’une même onde, de même aussi on peut le prendre fonction arbitraire 
du temps, pourvu que son changement soit insensible pendant une période vibra 
toire. Rien n’empêche donc qu’il s’évanouisse asymptotiquement pour t — — 00, 
de manière à annuler, aux distances infinies de la surface, les mouvements tant 
réfléchis que réfractés, et même aussi pour t — ce, si l’on désire annuler égale 
ment aux distances infinies de l’origine le mouvement incident.
	        
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