XXXII
ERRATA.
pliées soit par l, m, n, soit par %, r\, Ç, et en attribuant à \, t\, Ç, comme unique
facteur variable, l’exponentielle e k( - t ~ lx ~ m y~ nz '>^~'. Car, ici où n = o et où l, m
sont entre eux comme cosi, sinf, ces deux relations donnent t\, Ç propor
tionnels à —sinf, cosi, qr f—i; après quoi, chacune des trois équations (220)
se réduit à la double équation (225) en w .»
Page 465, aux lignes i4 et i5, pareille interversion a été faite entre lto' et
mw', l"u>" et moi", l l u l et mut,, l 2 w 2 et mo> 2 .
Page 469, à la fin de la seconde formule (235), lire « ».
Pages 478 et 479, aux formules (a') et suivantes, changer partout le signe de v.
Page 483, ligne 23, au lieu de « présente Note », lire « présent numéro ».
Page 487, ligne 6 en remontant, ajouter en Note ce qui suit :
« Les formules (107) de Fresnel ( p. 354 ), quoique relatives aux corps transpa
rents, indiquent un résultat général assez semblable au précédent, c’est-à-dire une
réduction plus grande des courtes que des longues radiations, dans la lumière
traversant, avec de nombreuses réfractions, un amas de tels corps, disséminés
dans le vide ou dans l’air. Ces formules donnent, en effet, des vibrations réfléchies
d’autant plus sensibles et, par suite, des vibrations réfractées d’autant moins
fortes, que l’indice N, supposé d’abord égal à l’unité, s’en éloigne davantage soit
dans un sens, soit dans le sens contraire : or on sait qu’il s’en éloigne plus,
dans les deux cas, pour le violet que pour le l’ouge, à la surface libre d’un corps
transparent.
» Ce fait n’expliquerait-il pas, sommairement, la prédominance du rouge dans
la lumière des astres à l’horizon, qui nous arrive réfractée, en quelque sorte, et
une infinité de fois, par les fines poussières, solides ou liquides, existant toujours
(en proportion variable) dans les couches inférieures de l’atmosphère? Et
n’expliquerait-il pas de même, ou en tant que simple aperçu, la couleur bleue du
ciel, c’est-à-dire une proportion notable, prépondérante, de radiations à courte
période, dans la lumière diffuse qui a été surtout réfléchie, ou qui, ayant comme
rasé inférieurement les mêmes couches, nous en vient, pendant le jour, en quan
tité appréciable, après une multitude de réflexions sur ces poussières atmosphé
riques? »
Page 489, à la fin, ajouter en Note : « Voir aux Compléments, relativement à
la formule (e'"), le haut de la page 601. »
Page 574, ligne i3, au lieu de « », lire « — ».
„ r r , •• ,• 7 dm’ dm'
Page 575, dermere ligne, au heu de « », lire « ».
Page 576, ligne 8 en remontant, au lieu de « (6) », lire « (0') ».
Page 622, ligne 9, ajouter : « Et, dans le cas contraire, la petitesse supposée
du coefficient <p d’asymétrie permet de prendre, là où il figure, a 1 , b 2 , c 2 égaux à
leur moyenne, c’est-à-dire de réduire le dernier terme de (49) au produit du carré
de cette moyenne par : la dissymétrie n’ajoute donc à l’expression usuelle
de w 2 , c’est-à-dire à la première (5o), qu’un petit terme, proportionnel à la se
conde expression (5o) ou, tout à la fois, à l’axe <p d’asymétrie et au degré d’ar
rondissement (en quelque sorte) des trajectoires dans le plan qui lui est perpen
diculaire, degré que mesure le demi-quotient de la constante S des aires par le
carré moyen des vitesses successives de l’éther, ou ce qu’on peut appeler l’aire
décrite dans l’unité de temps par unité de vitesse effective. »