CALCUL DE LA RÉFLEXION MÉTALLIQUE.
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sera plus complexe; car elle aura élé intégrée une fois de moins en t,
termes en £, -t], Ç, provenant des termes aux vitesses ( 1 ). Mais, comme
elle sera encore impliquée dans les quatre (90), combinées avec les
équations indéfinies relatives aux deux corps homogènes contigus,
on n’aura nullement besoin d’y recourir, pas plus qu’à la sixième, (93).
Ainsi, les quatre conditions (90), seules essentielles, ne subiront
aucun changement.
Cela posé, voyons ce que seront les ondes planes, ou les rayons de
lumière parallèle, dans le corps opaque. Les équations ( 115), n’étant
pas homogènes quant à l’ordre des dérivées, n’admettent pas de solu
tion de la forme f(t — l v x — mr), avec f arbitraire; et nous nous
bornerons, comme nous l’avons fait dans la question de la réflexion
totale, au cas de vibrations pendulaires où le mouvement incident,
dans le premier milieu, est représenté par la partie réelle d’une expo
nentielle de la forme e k( -‘~ m Prenons donc f(t) = e kl >/~ 1 , ou
f^t—lyX—my') — e k{t ~ l i x - m y)'f-i , et formons, aux équations (115)
du problème, une solution symbolique ou analytique dans laquelle £1,
Tjj, Çj aient comme unique facteur variable l’exponentielle
gk{t—/¡x_
Les premiers membres de ( 115) deviendront respectivement
et les seconds membres, —k 2 (l\ -+- ni 1 ) (^, 7)i, ^ ). Si donc on con
vient de poser, conformément à la dernière équation (98) (p. 352),
l\ -t- m 2 =
(”7)
( l ) Dans le cas d’isotropie et à la surface séparant un premier milieu, trans
parent, d’un second milieu opaque, cette équation serait
J_ dy^
a7 clt
H _ y d%
¡x 1 a'- dt'
ou bien, par une nouvelle intégration en t.
du moins s’il s’agit de mouvements propagés d’ailleurs ou que le repos aurait
précédés en (æ, y, z).