DANS UN ÉTIIER ADMETTANT DES VIBRATIONS LONGITUDINALES. 383
face : i°, dans le premier milieu,
(137 ) Ii/ — 1, où 1 = 4/ —i - -h /rc 2 = — 1/1-+- £ 2 sin 2 ¿;
y e 2 to 2 sa)
2°, dans le second milieu,
(138 ) —Ii 1/— 1, où Ix = 4 / ■ 1 , -t- /n 2 = — i/N 2 -h s 2 sin 2 i.
Y £ 2 lüf £W
Par suite, en appelant R, R, deux coefficients d’amplitude réels ou
imaginaires, pour ces deux ondes réfléchie et réfractée évanescentes,
les expressions symboliques des déplacements ij, r¡, Ç, entre elles
comme
(I ou — I!)\J — 1, m,
zéro,
/ /«. m \ /
ou comme 1, ( -ou— J y — 1
, zéro.
seront respectivement
(l3g) £'= \\ e ldt-my)<J~i
e klx ,
7)' = — y y/—"î R e fc{t ~ m y'i ' /=r > e /ilx ,
C=o.
dans l’onde réfléchie;
et
(i4o) | t = Ri
g—A!,x,
11
Cl = 0.
dans l’onde réfractée. Or, I et I t ayant les valeurs (137), (138), les
, . m m
deux quotients j et ^ sont respectivement
1 R
m £ s i n i m £ sin i
1 y 1 -H £ 2 sin 2 i y/N 2 4- £ 2 sin 2 i
et, par conséquent, très petits, de l’ordre de £ sin i. Les expres
sions (139), (i4o) reviennent donc sensiblement à
(i3g bis) £' = my)V-i e klx , r/=o, Ç'=o,
et à
(i4o bis) jjj = Ri eku-my)\t— 1 e —iii^ j Tjl -_ 0) Çj = o.
Autrement dit, les mouvements se font, à très peu près, normale
ment à la surface séparative x — o des deux milieux, dans les
deux ondes évanescentes accompagnées de condensations et de dila
tations cubiques.
On voit que ces termes ( 13g), (i^o), ou (i3g bis), (1^0 bis) ne
changeront rien aux expressions symboliques de £, tj, Ç, ? 1} tq,,