Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

DES ANOMALIES DE LA RÉFLEXION VITREUSE. 889 
deux déplacements vibratoires symboliques, incident et réfléchi, 
seront 
0 — (>k{t—lx—my) 1 ; o'= B 
donnant comme déplacements effectifs correspondants, 
0 = cos k(t — Ix — niy), 8' = B cos [P k(t Ix — my )]. 
Ainsi, d’une part, ¡3 exprimera l’avance de phase prise, à la sur 
face réfléchissante, par la vibration réfléchie sur la vibration inci 
dente, avance variable de ir, aux environs de l’incidence de polarisa 
tion, qui annule cosr — N così et pour laquelle (3 vaudra —• Quant 
à B, ce sera le petit coefficient d’amplitude vibratoire, minimum sous 
cette incidence (sans s’annuler), du rayon réfléchi. 
Telle est l’explication résultant, pour les phénomènes en vue, de la 
théorie de Cauchy. Il lui a manqué, pour être acceptée par les phy 
siciens, de rendre compte de deux circonstances. En premier lieu, 
elle ne fait varier le minimum d’amplitude du rayon réfléchi, avec la 
période de vibration, que dans la faible mesure où en dépend (‘) l’in 
dice N, tandis que l’expérience semble indiquer un rapide accroisse 
ment de ce minimum quand la période diminue. En deuxième lieu, 
pour une période vibratoire donnée, mais sur des surfaces séparatives 
î-rr» H .. . . ,, . (N — i) 2 (N +1) 
diflerentes, elle attribue a ce minimum 1 expression s — ■—. 
2 Nv/N 2 +i 
Or, l’observation, autant qu’on peut en juger, n’a pas confirmé celle-ci, 
non plus que l’expression un peu moins précise à laquelle conduisent 
les mêmes calculs, quand on attribue aux éthers des divers corps des 
coefficients e différents ou qu’on fait du rapport — — —— un indice N' 
1 1 saq 
/ e \ (N 2 — i) 
distinct de N ; ce qui donne, pour B sin ¡3, ^ j ( 2 ). 
(’) A raison de la dispersion dont il sera question plus loin. 
( 2 ) Si l’on appelle £2 le produit et» dans le premier milieu et £2, le produit ana 
logue dans le second milieu, le coefficient s — figurant dans cette formule de 
Q, £2 I 
B sin 3 deviendra — 1, e t l’expression de B sin B sera (Si — £2,) • 
“ 2cov/N 2 -M 
N 2 — i 
• y est £2 — £2 r Soient alors, par exemple, £2 a , £2 e , Si v 
2 w y'N 2 +1 
Le coefficient de
	        
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