Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

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REFROIDISSEMENTS OU ÉCHAUFFEMENTS PAR RAYONNEMENT, 
prendre asymptotiquement une certaine valeur constante ¿¿ 0 , la 
fonction cp s’y réduira très sensiblement à u, vu l’évanouissement 
qu’y éprouveront les dérivées premières de u ; et cette fonction y 
vérifiera la meme relation que u, savoir cp — w 0 . Enfin, dans le cas 
de températures variables avec le temps t, il y aura une condition 
d’état initial, u — f(x, y, z) avec f fonction arbitraire donnée, 
que u devra vérifier à l’instant de début du phénomène; et alors 
o prendra évidemment les valeurs initiales, également connues. 
(3) 
J dx 
II 
df _ ¡df 
dy 
dz 
Ces valeurs se réduiraient môme à f, ou donneraient cp — u au 
début, si la température initiale était constante, comme il arrivera 
dans les problèmes les plus intéressants. 
La fonction co prenant d’ailleurs, à la surface, dans le cas.con 
sidéré du rayonnement, les valeurs données u e: exactement comme 
le fait u dans le cas du contact, on voit que cp, dans le refroidis 
sement ou Réchauffement par rayonnement, sera régi par des 
équations exactement analogues, sinon même identiques, à 
celles qui déterminent u dans le refroidissement ou Véchauffe- 
ment par contact. Donc il suffira de savoir calculer u dans le cas 
du contact, pour pouvoir obtenir cp dans le cas du rayonnemenl. 
Or, une fois co connu, on n’aura plus, pour avoir u, qu’à intégrer 
l’équation linéaire (i), aux dérivées partielles du premier ordre et 
prises seulement par rapport à x, y, z, en déterminant par la 
condition u = u 0 relative aux régions profondes, ou par quelque 
autre équivalente, la fonction arbitraire qu’introduit cette dernière 
intégration. 
En général, celle-ci ne se fait pas sous forme finie, et la formule 
de u contient, par suite, un signe j'de plus que celle de cp. L’ex 
pression de la température u emploiera donc des intégrales défi 
nies d’un degré de multiplicité plus élevé (d’une unité), dans le 
refroidissement ou réchauffement par rayonnement, que dans le 
refroidissement ou l’échauflfement par contact. 
Je donnerai, de cette théorie, cinq exemples, dont trois se rap 
porteront à des états variables avec le temps i, et, deux, à des 
états permanents.
	        
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