PRINCIPAL DES TERMES QUI L’EXPLIQUENT.
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qu’elles sont introduites uniquement par la présence de la matière
pondérable et par ses résistances ¿R.*,, ¿R y , ¿R. au mouvement vibra
toire, il est assez naturel, dans une évaluation approximative, de
négliger l’effet, indirect, de l’existence de cette matière sur les se
conds membres des équations (6) (p. 272), uniquement dépendants
des forces élastiques de l’éther et restés, jusqu’à présent, de môme
forme dans les corps que dans l’éther libre.
Ne touchons donc pas à ces seconds membres, censés contenir égale
ment les X, t], Ç moyens ou sans irrégularités; mais contentons-nous,
pour saisir le gros des phénomènes en vue, d’uniformiser les déplace
ments X, Tj, £, dans l’expression (1) (p. 269) de la résistance (R.*,, R y , R-)
des molécules que contient l’élément de volume. Les quantités X, r ( , Ç,
qui y figurent par leurs dérivées secondes en t, sont les déplace
ments effectifs de l’éther entourant la molécule; et une formule appro
chée de calcul intégral, donnée tout à l’heure en note (p. 437 ), montre
qu’on peut les rattacher aisément aux déplacements uniformisés. Si £
désigne le rayon de la petite sphère d’uniformisation, rayon en rap
port de longueur avec les intervalles moléculaires mais beaucoup
plus grand qu’eux, les X, tj, Ç réels seront sensiblement, d’après cette
formule, les excédents des X, tj, Ç uniformisés, sur les trois produits
des paramètres A 2 de ceux-ci par -—Il n’y aura ainsi qu’à remplacer
X, t), Ç, dans les expressions (1) de R x , R y , R-, puis dans les sui
vantes, (4), des résistances moyennes ¿R^,, ¿R y , ¿R z , respectivement par
avant de porter les expressions de ¿R^, ¿R y , ¿R. dans les équations (6)
du mouvement.
Comme l’hétérotropie est assez faible, chez tous les corps transpa
rents, pour que les coefficients indirects de résistance, D, E, F, soient
petits à côté des coefficients directs A, B, C, et pour que ceux-ci soient
presque égaux, ou pourra négliger les termes qui contiendraient à la
fois le facteur e 2 et l’un des facteurs D, E, F, B — C, C — A, A — B.
Si alors on pose, par exemple,
A + B -+- C e 2
(200)
P
O
où y. désignera un coefficient spécifique positif en rapport de peti
tesse avec s 2 , les premiers membres des équations (6) s’accroîtront
simplement du terme
d* A 2 £
d- A 2 7j
dt l
—
— y. a