PAR UN MILIEU TRANSPARENT HÉTÉROGÈNE, A COUCHES PARALLÈLES. 499
seront fonction de t et de y que par l’intermédiaire de la variable
unique t — mj; et le système d’ondes planes excité dans la région
des x négatifs aura donné naissance, dans celle des x positifs, à des
déplacements y), Ç dépendant uniquement des deux variables x,
t — my.
Appelons l, sur chaque couche x — const., la fonction de x bien
continue
donnant
fonction parfaitement définie, même quant à son signe, si on l’astreint
à devenir / 0 pour x — o, c’est-à-dire à y être positive; et observons
que l’intégrale / Idx, entendue dans le sens de / Idx, sera sensi-
o
blement, à cause de la lenteur de variation de l, de la forme
lx -4- const.,
entre deux valeurs de x assez peu distantes, ou qu’elle y aura lx
pour partie variable, comme si l ne changeait pas. Alors, Idx étant
une fonction de x connue, les deux variables t — my et x, dont £, r h t
et x. Or, vu l’extrême petitesse des changements de w, dans les éten
dues de dimensions comparables à une longueur d’ondulation, et vu
aussi l’absence de la variable z dans r¡, Ç, il est présumable que
les ondes, cylindriques à génératrices dirigées suivant les z, auront
de très grands rayons de courbure, ou que, entre deux couches assez
peu distantes, elles ne différeront guère d’ondes planes à vibrations
transversales et à normale située dans le plan des xy, où elle fera
un certain angle i avec l’axe des x. Cela exige que £, r¡, l dépendent
surtout de la variable principale
t — in y — l dx,
revenant à t — my — lx -t- const. dans des espaces restreints, ou
qu’ils varient très lentement avec l’autre variable x. Car, s’ils chan
geaient aussi vite avec celle-ci qu’avec la première, ils ne se trouve
raient pas approximativement compris dans le type d’expressions
propre aux systèmes d’ondes planes parallèles aux z et à vibrations
transversales, type qui n’admet comme variable de Sj, y¡, X, qu’une
expression linéaire de la forme t — my — lx -h const., avec un coef