REFROIDISSEMENT D UN MUR A FACE RAYONNANTE
et (21 bis), au moyen de I; et cette équation différentielle (20)
revient à
du
dt
a 2 h- u
‘laïli’-uç
v/tc
1 d\
+ h dx
lntégrons-la par la méthode ordinaire de la variation des con
stantes, c’est-à-dire en posant u — ce aihH , avec c variable. L’on
aura
2<Z 2 A 2 «o
r d\ '
h dx,
q—a*h*t —
2 u 0 / T de~ aî,lit
V*
a i he~ ai,lit — ) •
dx,
Multipliée par 0?/, et intégrée en chaque point (c’est-à-dire sans
faire varier x) à partir de l’époque t = o où l’on avait évidem
ment c — u — u 0 , cette relation donne
c — u o -+-
TÂl
I de- aVlH — a”- h
t- 0 «-'o
f'e-«
^0
Wt ^ dt
dx
Effectuons par parties la première intégration indiquée au
second membre; et observons que, I, pour t nul, étant ~ [vu
sa dernière expression (23)], le terme intégré correspondant à la
limite inférieure détruit justement le premier terme, « 0 , du second
membre. Il viendra
2 Uq
y/ TC
\p—aViH _ C p-~a*h*t („2 1, ^
6 1 6 \ a ' l dx + dt
Enfin, a-h~ et ~ sont, d’après le troisième membre de (23),
les produits respectifs de e par
X 1
~TâTt a ‘ l d.ahyt
et par
dt
V t
de sorte que la fonction sous le dernier signeJau second membre
de (26), est, en posant finalement ah\Jt
e -(“"*‘+Sî) d ( ah f t . *
'.yj t
‘ï.ayjt
’Me~(. ah ^ t+ ^=) d(ah\J't
WtJ
\ — e hx e- { *° du.