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2 L
idant à la
u second
de (23),
f x
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membre
ET A TEMPÉRATURE INITIALE UNIFORME. l5
Et, d’ailleurs, quand t y croit de zéro à i, wy varie avec conti-
nuité de 00 à ah\J t
cation (23) de I,
(27) c
2 U 0
Q-a-h^t
[
'■ s/1
2 a yjt
En résumé, il viendra, vu la signifi-
w2 dw -+- e hæ J”
ah \Jl-
e~ w2 dui
2 a
Il suffira de multiplier par e a2/i2i , pour avoir les températures
cherchées u ( 1 ). Afin d’abréger l’écriture, appelons la fonc
tion
(28)
<p(co) = / e~~‘ w2 d(x>,
•J (1)
( l ) Possibilité d’une réduction analogue, dans le cas de tempéra
tures initiales non uniformes. — Je m’aperçois qu’on arrive plus simplement
à l’équation différentielle (2.4), étendue même à l’hypothèse de températures
initiales f(x) quelconques, en partant de l’équation (10) (p. 8). Celle-ci, diffé-
rentiée en x, donne
j du dy
dx 2 dx dx
et, par l’élimination de au moyen de (10),
g = ! -g'
Portons cette valeur de la dérivée seconde de u en x dans l’équation
du ,, d 2 u
dt a dx 2
du problème; et nous aurons l’équation différentielle cherchée :
( a ) ^7 —a 2 h 2 u =— a 2 h 2 lo + j ~~ )•
\ /1 CLX y
Elle comprend bien (24); car, lorsque /( x ) = u e , il faut, dans l’intégrale (8)
de Laplace (p. 7), où u a été changé en cp, poser