MANIÈRE DE LES INTÉGRER.
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^5 et, d’autre part, en adop-
tant comme unité de longueur la vitesse de propagation a qu’aurait
la lumière dans le corps, s’il n’était ni dispersif, ni absorbant. Nous
aurons donc à intégrer, pour tous les points (x, y, z) de l’espace,
l’équation
(297)
do
sous les conditions que cp et —- soient, à l’époque l — o, deux fonc
tions arbitraires, mais finies, f(x,y,z), F(x,y,z), exprimant,
d’après (29/4), la première, les valeurs initiales du déplacement con
sidéré Ij, ou y], ou Ç, mais la seconde, dérivée, pour t — o, du pro-
La manière la plus simple d’effectuer ceLte intégration de (297), et
même la seule qui ait été tentée ou ait abouti en dehors du cas
d’une coordonnée unique x (où il n’y a que deux variables indépen
dantes x et ¿), consiste à la ramener à l'intégrale classique, donnée
par Poisson, de l’équation du son
, tV 1 cd d 1 co d- cp d 1 ce
(298) dï = dïr + +
C’est l’intégrale, bien connue,
(299) \
(') On réduirait de même à la forme (297) une équation dont le premier
membre contiendrait, de plus que les premiers membres de ( ag3), trois termes
à coefficients constants et où figureraient linéairement les dérivées premières
de %, T, ou Ç en x, y, z. Il suffirait alors de prendre 't\ ou Ç de la forme
(0
en déterminant les quatre constantes h. I, m, n de manière à annuler, dans
l’équation transformée en cp, les quatre coefficients totaux de -~
do do do do
dt ’ dx ’ dy ’ dz