Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

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SUR LE REFROIDISSEMENT SÉCULAIRE DE LA CROUTE TERRESTRE. 
168. Application au refroidissement séculaire de la croûte ter 
restre; et, d’abord, manière d’éliminer du problème l’action so 
laire, supposée ou permanente ou périodique. — A la surface de 
la croûte solide de notre globe, croûte comprenant l’ensemble des 
couches étudiées par les géologues, la température extérieure u e 
est, en chaque point, la somme de ce qu’elle y serait sans le 
rayonnement solaire et de la partie qu'y ajoute ce rayonnement. 
Cette dernière partie peut être regardée, durant de longs espaces 
de temps, comme comprenant, sur chaque point du sol, un terme 
constant, ou indépendant de t, et plusieurs termes périodiques à 
valeur moyenne nulle, dont les deux plus sensibles ont pour pé 
riodes respectives le jour et l’année. Aux termes périodiques cor 
respondent, dans l’intérieur, les inégali tés, à valeur moyenne nulle 
également, que nous avons appris à évaluer dans la XIV e Leçon (*), 
et qui deviennent à peu près insensibles aux profondeurs excédant 
une quinzaine de mètres. De même, au terme constant, supposé 
donné sur chaque point de la surface, correspond, dans l’intérieur 
du globe, un état permanent, où toutes les valeurs de u sont 
comprises entre la plus petite et la plus grande valeur de ce 
terme de u e . D’ailleurs, abstraction faite des irrégularités locales 
(géométriques ou physiques), de la surface terrestre, la fonction w, 
indépendante de £, dont il s’agit, variera graduellement du centre 
du globe aux diverses parties de sa surface, savoir, aussi graduel 
lement que le feront sur celle-ci, de l’équateur aux pôles, les cli 
mats moyens eux-mêmes, dus justement à cette partie constante 
de l’action solaire. 
Cela posé, imaginons que l’on retranche delà température effec 
tive à l’époque t, tant au dehors qu’en chaque point de l’intérieur, 
les fortes valeurs de la variable w = ah \ft - 
c’est-à-dire pour ¿ou cassez grands, et aussi pour t fort petit. Alors, en effet, 
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