584 OBLIQUITÉ DES RAYONS AUX ONDES ET LEUR COURBURE,
part chacune d’elles, X par exemple. Posons donc
X =. Ue»(t-i 1 x- m3 ’)Ci )
en faisant le coefficient imaginaire d’amplitude U lentement variable avec x, y, z.
L’équation en \ revient à
où a l’expression imaginaire (118) (p. 3^4)i à laquelle celle de est reliée
par la formule (119). A cause des petites déi’ivées partielles
en conséquence, de £, par rapport aux variables autres que t — l x x— m/, l’on
aura, comme il a été trouvé bien des fois dans ce Volume, sans que le caractère
imaginaire de la variable principale vienne modifier ici en rien les règles de dif
férentiation,
d 2 X _ w, d\
dt 2 ’ dx
et l’équation du mouvement ci-dessus deviendra, vu (117) (p. 373),
àX' dX’
ty-^ 1- m —— — 0,
dx c)y
c’est-à-dire
, dU dU
O -t 1- m — =0.
dx dy
Soit U = e“+“i v/_1 , e u étant le module de U, ou l’amplitude des valeurs effec
tives de X (abstraction faite de l’exponentielle décroissante, fonction de x seul,
comprise dans le facteur e **,**>), et u x étant 1 ''argument de U, expression
d’une avance ou d’un retard de phase. Ces deux quantités u et u x sont données
à la surface x = o du corps opaque; ou, plutôt, elles y résultent des formules
indiquées au n° 39, à propos de la réflexion métallique (p. 374). A cette sur
face x = o, l’amplitude e u du déplacement réfracté effectif X est variable, propor
tionnelle partout à celle du déplacement de même nom dans l’onde incidente;
mais le changement u x de phase y est constant, pour les directions assignées
de cette onde et des vibrations qui la constituent.
Or la substitution, à U, de e»+«, v/ -i e t, à m, de leurs valeurs des n os 39
et 67 (p. 376 et 451 ), savoir
L/ ,— . x cosr , L
sin 1
sin r
l x = — ( cosv — \J— i sinv ) = A — v— 1 — sinv,
m —
ta
change l’équation précédente en
et la séparation de l’imaginaire d’avec le réel y donne,, après multiplication par